Il y a plusieurs années, mon mari et moi étions en voyage lorsque je suis tombée malade, affectée par une sérieuse maladie respiratoire. J’ai prié, affirmant simplement ce que j’avais appris dans mon étude de la Science Chrétienne – que Dieu, le bien, est tout, et qu’il n’y a rien en dehors de Lui. Je savais que la maladie est une croyance qui peut être renversée grâce à la compréhension spirituelle de la toute-présence et de la toute-puissance de Dieu.
En priant, j’ai réalisé que j’avais regardé les audiences du Congrès sur la validation d’un haut fonctionnaire, au cours desquelles les témoignages étaient apparus offensants et destructeurs. L’atmosphère de ces audiences m’avait semblé être pénétrée de mauvaises intentions.
Cette prise de conscience a été mon signal d’alarme. J’ai immédiatement commencé à renverser cette image du sens matériel grâce à trois idées qui me sont venues pendant que je priais. La première était que Dieu est ma Vie et la Vie de tous ceux qui sont impliqués dans cette activité gouvernementale. La seconde était tirée du livre d’Ezéchiel, dans la Bible, où Dieu dit : « J’en ferai une ruine, une ruine, une ruine. Mais cela n’aura lieu qu’à la venue de celui à qui appartient le jugement et à qui je le remettrai. » (21:32) Et la troisième était tirée du livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, de Mary Baker Eddy : « Il faut du courage pour proclamer la vérité ; car plus la Vérité élève la voix, plus l’erreur crie fort, jusqu’à ce que le son inarticulé de sa voix se perde à jamais dans l’oubli. » (p. 97)
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