Il y a plusieurs années, en l’espace de quelques jours, mes chevilles et mes pieds se sont mis à enfler et à me faire très mal. Je luttais pour parvenir à me tenir debout et à me déplacer, même avec un déambulateur. Grâce à mon étude de la Science Chrétienne, je savais que je pouvais surmonter cela en voyant que c’était un mensonge – un rêve d’imperfection que Dieu n’avait pas créé. J’ai contacté un praticien de la Science Chrétienne pour qu’il prie avec moi, et je suis allée dans une maison d’accueil de la Science Chrétienne près de chez moi pour être aidée.
J’étais tellement reconnaissante pour les soins affectueux dispensés par les nurses de la Science Chrétienne et parce qu’ils n’avaient aucune crainte à mon sujet. Au lieu de me voir comme une personne vulnérable, malade et matérielle, ils me voyaient comme spirituelle, en bonne santé et parfaite, et ils s’attendaient à ce que le corps se conforme à ce point de vue. Ils n’ont pas diagnostiqué de maladie ou de blessure ni recommandé de médicaments, et ils n’ont pas tenté de prendre la place du praticien de la Science Chrétienne. Au lieu de cela, ils m’ont dispensé un soutien pratique et un réconfort qui ont aidé à répondre à mes besoins.
Même si je sentais que je faisais des progrès, une foule d’autres problèmes se sont accumulés. Parfois, ces maux ressemblaient à une tempête qui m’attaquait de toutes parts. Mais le praticien m’a rappelé cette idée réconfortante tirée de Science et Santé avec la Clef des Ecritures, de Mary Baker Eddy : « La notion que le mal et le bien sont tous deux réels est une tromperie du sens matériel que la Science annihile. Le mal n’est rien, il n’est ni chose, ni entendement, ni pouvoir. » (p. 330) J’ai également été inspirée par ce que Science et Santé nous conseille de faire : « Lorsque l’illusion de la maladie ou du péché vous tente, attachez-vous fermement à Dieu et à Son idée. » (p. 495)
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