Pendant des années, ma vue a baissé. D’abord pour lire, et ensuite pour voir de loin.
Je n’ai pas vraiment traité ce problème de vue par la prière ; j’ai continué à choisir des lunettes à la mode, dont je pensais qu’elles me mettaient en valeur. J’ai ensuite acquis une paire de lunettes qui me permettait de lire et aussi de voir de loin. Cependant, au début de l’année dernière, celles-ci sont tombées et se sont cassées alors que je faisais du vélo. J’ai donc été contrainte de retourner chez l’opticien, qui m’a dit que les lunettes ne pouvaient pas être réparées, et qu’il m’en coûterait entre 400 et 500 euros pour les remplacer. A cette époque, je n’avais pas cette somme, et donc j’ai décidé de faire sans.
C’était une période durant laquelle je me préparais également à assister à mon association de la Science Chrétienne en lisant Science et Santé avec la Clef des Ecritures, de Mary Baker Eddy, d’un bout à l’autre, comme si c’était un livre entièrement nouveau. Lorsque je suis arrivée au chapitre « Apocalypse », j’ai lu la partie relative au livre de l’Apocalypse dans la Bible, chapitre 21, verset 21, et j’ai été véritablement impressionnée que Jean ait pu « voir » un nouveau ciel et une nouvelle terre : « Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n’était plus. » Voici l’interprétation spirituelle de ce passage donnée par Mary Baker Eddy : « Par quel sens saint Jean eut-il cette vision ? Non par l’organe visuel matériel qui sert à la vue, car les yeux sont incapables d’embrasser une scène aussi merveilleuse. [...] Le Révélateur était sur notre plan d’existence, tout en voyant cependant ce que l’œil ne peut voir – ce qui est invisible à la pensée non inspirée. »
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