Pendant une année, j’ai pris des cours sur l’orientation des enfants et le conseil familial pour obtenir un diplôme. Ces cours ont été suivis d’un stage de trois mois. Durant tout ce temps, j’ai séjourné dans une pension pour jeunes femmes, au YWCA Working Women’s Hostel, à Chandigarh. J’ai remarqué à plusieurs reprises un écriteau près de l’entrée du bâtiment du YWCA, qui portait cette inscription : « Dieu guérit. Ecoutez des témoignages en direct lors de la réunion du mercredi de la société de la Science Chrétienne. » Je croyais en Dieu, et j’assistais fréquemment à des réunions de prière dans des gurudwaras (qui sont des lieux de culte Sikhs) depuis mon enfance. Mais la promesse de la guérison physique grâce à la prière m’attirait beaucoup.
Un jour de juillet 2017, j’ai assisté à la réunion de témoignage du mercredi pour voir de quoi il retournait. Je suis restée durant toute la réunion. Je n’ai pas compris grand-chose excepté que toutes les personnes qui se levaient remerciaient Dieu. Lorsque la réunion s’est terminée, un des membres m’en a dit davantage sur cette société de la Science Chrétienne. Il m’a dit également qu’il existait des praticiens de la Science Chrétienne qui aidaient les gens par la prière. J’ai pris le numéro de téléphone d’une praticienne, j’ai convenu d’un rendez-vous avec elle et, après notre première entrevue, j’ai continué de discuter régulièrement avec elle.
Ce chemin était totalement nouveau pour moi. Je n’avais jamais entendu parler de la Science Chrétienne. La praticienne m’a expliqué beaucoup de choses sur ce qu’est la Science Chrétienne. Elle m’a parlé du livre Science et Santé avec la Clef des Ecritures, écrit par Mary Baker Eddy. Elle m’a également expliqué que nous sommes tous des enfants de Dieu, car Dieu est notre Père-Mère, et qu’Il aime Ses enfants. A cette époque, j’ignorais tout de l’amour que Dieu a pour moi. Ces paroles de Science et Santé affichées à l’avant de l’auditorium étaient donc éloquentes : « L’Amour divin a toujours répondu à tout besoin humain et y répondra toujours. » (p. 494)
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