J’aimerais témoigner ma reconnaissance envers Dieu ainsi qu’envers Mary Baker Eddy qui a mis en lumière, pour le bien de tous, les lois de la guérison chrétienne pratiquée par Christ Jésus. Au cours de l’hiver 2016-2017, il y a eu une épidémie de grippe et d’infection respiratoire dans ma région. J’ai accepté sans réfléchir cette croyance générale à la contagion et à l’infection, et je me suis mise à tousser et à avoir de la fièvre.
Durant les deux premières semaines, j’ai lutté contre ce mal en priant et en étudiant la Bible et les écrits de Mary Baker Eddy. Grâce à cette étude, j’ai vu qu’il me fallait être plus énergique et moins égoïste dans mes prières. J’ai ressenti le besoin de suivre les instructions de Jésus, qui demande d’aimer davantage son prochain comme soi-même. Depuis un certain nombre d’années, j’envisageais d’écrire pour les magazines de la Science Chrétienne. J’ai alors pensé qu’en écrivant je pourrais bénir les autres. Je me suis procuré les instructions pour rédiger un article et je l’ai proposé. Ma santé s’est améliorée pendant quelques jours, et puis elle s’est détériorée à nouveau. J’ai compris que quelque chose de plus devait changer dans mes pensées.
J’ai demandé à un praticien de la Science Chrétienne de bien vouloir me donner un traitement par la prière. Celui-ci m’a cité l’un de mes cantiques préférés dans l’Hymnaire de la Science Chrétienne : « Amour, en Toi nous respirons, / Nous sommes, nous vivons… » (no 144, adaptation et traduction © CSBD) Le praticien m’a dit que l’atmosphère de l’Amour, de Dieu, était pure, et que j’étais donc pure moi aussi. En méditant sur cette vérité bienfaisante, j’ai décidé d’interrompre ma routine quotidienne pour faire une retraite spirituelle, et demeurer tranquillement chez moi, seule avec Dieu, ou aller dans les montagnes toutes proches, où je pourrais m’installer pour étudier et prier. Mary Baker Eddy écrit dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures : « Le moyen de chasser l’erreur de l’entendement mortel est d’y verser la vérité avec des flots d’Amour. » (p. 201) Je désirais certainement laisser l’Amour chasser l’erreur de mes pensées, et je voulais démontrer ma pureté héritée de Dieu.
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