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Gagner une compréhension plus claire de la vie éternelle

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de novembre 2019

Paru d'abord sur notre site le 7 juin 2019.


Juste après la fin de mes études secondaires, ma mère est décédée et je me suis senti perdu. Mon rocher n’était plus là pour moi. Et, comme cela était prévisible, le fonctionnement de notre famille a changé. La question que je ne cessais de me poser était : Pourquoi Dieu a-t-il permis une chose pareille ? Le pasteur de notre famille a répondu que c’était la volonté de Dieu. Mais cette réponse semblait contradictoire avec ce que j’avais appris à l’école du dimanche protestante, que « Dieu est amour » (I Jean 4:8), et je ne pouvais pas croire que le décès de ma mère était Sa volonté. Je suis parti pour l’université sans réponse à ma question. Je me sentais triste, en colère, et seul.

Huit ans plus tard, je vivais et travaillais dans une région isolée des Etats-Unis. Une fin d’après-midi, alors que je me promenais seul dans le jardin de notre résidence, j’ai entendu nettement derrière moi la voix de ma mère qui disait : « Jay, je vais bien. » Même si je savais qu’elle n’était plus présente physiquement, je me suis retourné. Bien évidemment, il n’y avait personne, mais il m’avait vraiment semblé entendre sa voix.

A cette époque, j’étudiais la Science Chrétienne, et j’avais appris que le décès de ma mère n’était pas la volonté de Dieu et que Dieu était tout-aimant et compatissant. Mary Baker Eddy, la Découvreuse et Fondatrice de la Science Chrétienne, écrit à la page 206 de son ouvrage fondamental, Science et Santé avec la Clef des Ecritures : « Dieu n’est pas cause que l’homme puisse pécher, être malade ou mourir. » Le décès de ma mère n’avait rien à voir avec le plan ou le dessein de Dieu pour elle, car ce dessein ne pouvait être que bon et aimant puisque Dieu est bon et qu’il est l’Amour même. Comme le précise l’auteur de la première Epître de Jean, Dieu « nous a aimés le premier » (4:19). Après avoir entendu la voix de ma mère, j’ai su qu’il n’y avait plus de souffrance, et mon chagrin a disparu. Mais je ne pouvais cependant pas expliquer cette histoire de voix. Qu’était-ce donc ?

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