Tout autour de la planète, enseignants, parents et autres bonnes volontés ont à cœur d’aider les élèves à exprimer leur plein potentiel. Le soin méticuleux que l’on prend à soutenir les progrès des élèves me fait penser à l’image maternelle de l’oiseau qui couve ses petits pour les protéger, et guide tendrement leurs efforts afin qu’ils puissent apprendre à se défendre par eux-mêmes – image également utilisée dans la Bible pour décrire l’amour nourricier de Dieu (voir, par exemple, Deutéronome 32:11).
La Science Chrétienne reconnaît en Dieu à la fois le Père et la Mère, qui veille tendrement sur Sa progéniture spirituelle, c’est-à-dire nous tous. Mary Baker Eddy, qui a fondé ce magazine, écrit dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures : « Père-Mère est le nom de la Divinité, nom qui indique Sa tendre relation à Sa création spirituelle. » (p. 332) Etant donné que Dieu est l’Amour infini toujours présent, et que l’homme est Son expression, nous exprimons naturellement des qualités comme la gentillesse, la compassion, ou la sollicitude désintéressée à l’égard d’autrui.
Ainsi, lorsque des chefs d’établissement font tout leur possible pour que les élèves réussissent, c’est là une manifestation gracieuse de l’amour maternel de Dieu. Mais quelle que soit la nature de nos activités quotidiennes, nous avons tous l’occasion d’exprimer nos qualités spirituelles innées pour contribuer au bien-être des autres. Christ Jésus illustra cette norme d’amour durant tout son ministère en guérissant les malades et en améliorant la vie de ceux qu’il rencontrait. Il ordonna à ses disciples d’aimer leur prochain comme eux-mêmes. Quel privilège que de s’efforcer d’obéir à ce commandement !
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