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Une danseuse trouve la guérison

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juin 2017

Publié à l’origine en anglais dans le Christian Science Sentinel du 16 janvier 2017 


Je suis danseuse classique de profession, et l’hiver dernier, j’envisageais avec enthousiasme la possibilité de suivre un cours avec le professeur qui m’avait fait faire mes premiers pas. Un matin, je me suis réveillée avec de vives douleurs dans les jarrets. J’ai craint d’avoir provoqué une élongation de ces muscles en faisant mes exercices le soir précédent. 

On venait de me donner la merveilleuse possibilité de danser de nouveaux rôles au sein de ma compagnie de ballet à New York, et j’ai eu peur que ce problème ne m’en empêche. J’ai immédiatement opposé à cette pensée le fait que rien n’avait le pouvoir de me priver des possibilités de progresser, ni de la continuité du bien qui sont accessibles à tous en tant qu’enfants de Dieu, l’Amour divin. J’ai fait appel à ce que j’avais appris en étudiant la Science Chrétienne. 

J’ai prié afin de savoir que les étirements de la veille et les exercices de danse étaient une expression ordonnée et joyeuse de l’Entendement et de l’Amour divins. La danse me permettait d’avoir un but dans la vie, de faire preuve de détermination et d’exprimer ma gratitude envers Dieu, qualités qui sont toutes naturelles à mon être. Si j’avais la conscience ainsi remplie d’amour, de l’amour pur que Christ Jésus a enseigné, il ne pouvait pas y avoir de place pour la crainte. 

Si je la laissais dominer mes pensées, la crainte m’empêcherait de démontrer la vivacité de la Vie. Elle n’avait pas le pouvoir de m’empêcher de danser et elle ne pouvait pas m’empêcher non plus de vivre une expérience positive à travers les occasions qui m’étaient offertes. 

Je me suis rendu compte qu’il n’était pas nécessaire de chercher des moyens de gérer la crainte ou de m’en défaire. Dans la mesure où je comprendrais que je suis l’expression de la Vie, de la Vérité et de l’Amour, la crainte disparaîtrait naturellement. Ces progrès spirituels ne laisseraient aucune place à la crainte. On trouve l’affirmation suivante dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy : « ... le progrès est la loi de Dieu, loi qui exige de nous seulement ce que nous pouvons certainement accomplir. » (p. 233) Rien n’avait le pouvoir de me faire peur, puisque j’étais une idée individuelle de l’Entendement et de la Vie, qui sont des synonymes de Dieu comme nous l’enseigne la Science Chrétienne.

En gardant ces idées en tête, j’ai vaqué à mes activités quotidiennes et j’ai continué d’aller à mes cours de danse. J’ai aussi demandé à ma mère de prier avec moi. Le lendemain, j’ai fait la même chose, et la douleur avait considérablement diminué entretemps. Le jour suivant, j’avais complètement oublié l’incident. 

De retour à New York une semaine plus tard environ, j’avais un cours la veille des premières répétitions, et j’ai ressenti une douleur intense dans le mollet, très semblable à celle que j’avais éprouvée dans les jarrets. J’ai craint d’avoir de nouveau une élongation. 

J’ai résisté à l’envie de rechercher une cause physique et me suis tournée vers la Science Chrétienne. J’étais très reconnaissante de la guérison que j’avais eue la semaine précédente et j’étais certaine que les idées avec lesquelles j’avais prié étaient vraies. Par conséquent, aucune suggestion contraire à la Vérité ne pouvait les renverser. J’ai refusé d’avoir peur, car la même suggestion que la dernière fois me revenait, à savoir que quelque chose pouvait m’immobiliser ou me priver de la joie de danser de nouveaux rôles. Je n’ai permis à rien d’autre que la gratitude pour ces opportunités, la joie et l’amour de la danse et de la Vie, Dieu, de remplir mes pensées. 

J’avais prévu de sortir ce soir-là. Alors, comme la veille, j’ai poursuivi mes activités, confiante dans l’omnipotence et l’omniprésence de l’Amour. J’avais de la peine à marcher après mon cours de danse, mais entre le moment où je suis rentrée chez moi et celui où je suis ressortie ce soir-là, j’avais complètement oublié la douleur. Elle avait disparu. J’ai porté des talons hauts toute la soirée, ce qui ne m’a posé aucune difficulté. Et j’ai pu danser le lendemain et les jours suivants. 

Je suis très reconnaissante d’avoir acquis, grâce à ces guérisons, une bien meilleure compréhension des vérités spirituelles que la Science Chrétienne m’a révélées.

Rachel Richardson
New York, New York, États-Unis

Publié à l’origine en anglais dans le Christian Science Sentinel du 16 janvier 2017 

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