Je suis danseuse classique de profession, et l’hiver dernier, j’envisageais avec enthousiasme la possibilité de suivre un cours avec le professeur qui m’avait fait faire mes premiers pas. Un matin, je me suis réveillée avec de vives douleurs dans les jarrets. J’ai craint d’avoir provoqué une élongation de ces muscles en faisant mes exercices le soir précédent.
On venait de me donner la merveilleuse possibilité de danser de nouveaux rôles au sein de ma compagnie de ballet à New York, et j’ai eu peur que ce problème ne m’en empêche. J’ai immédiatement opposé à cette pensée le fait que rien n’avait le pouvoir de me priver des possibilités de progresser, ni de la continuité du bien qui sont accessibles à tous en tant qu’enfants de Dieu, l’Amour divin. J’ai fait appel à ce que j’avais appris en étudiant la Science Chrétienne.
J’ai prié afin de savoir que les étirements de la veille et les exercices de danse étaient une expression ordonnée et joyeuse de l’Entendement et de l’Amour divins. La danse me permettait d’avoir un but dans la vie, de faire preuve de détermination et d’exprimer ma gratitude envers Dieu, qualités qui sont toutes naturelles à mon être. Si j’avais la conscience ainsi remplie d’amour, de l’amour pur que Christ Jésus a enseigné, il ne pouvait pas y avoir de place pour la crainte.
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