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RÉPUBLIQUE DU CONGO

Guérison de maux de tête chroniques

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de septembre 2012


Toute ma jeunesse, j'ai souffert de maux de tête. La fréquence était telle que je ne pouvais passer un mois sans recourir à des comprimés pour apaiser la souffrance. Lorsque je suis arrivé en classe de terminale, en 1983, j'ai raté le deuxième trimestre de l'année scolaire pour cause de maladie. Ce problème était aggravé par mon manque d'appétit, qui faisait que je perdais mes forces. J'étais souvent alité. Les médecins ont procédé à des examens médicaux, mais un encéphalogramme n'ayant révélé aucun signe pathologique, les soins de la médecine moderne et de la médecine traditionnelle ont vite montré qu'elles ne pouvaient m'offrir la guérison. Franchement, je pensais que la seule solution consistait à attendre la mort pour qu'elle abrège mes souffrances.

« J'ai compris que j'étais cet homme que Dieu a créé à Son image, selon Sa ressemblance, et non une victime des croyances humaines. »

C'est à ce moment que la Science Chrétienne est venue à mon secours. La découvreuse de cette Science, Mary Baker Eddy, a cité un fameux proverbe à ce sujet: « “la dernière extrémité de l'homme, est l'opportunité de Dieu”. » (Science et Santé, p. 266) Ma grande sœur et son mari avaient connu un problème d'infertilité (diagnostiqué médicalement), et, ayant décidé de le résoudre par la prière, ils avaient obtenu de merveilleux résultats: ils ont conçu un enfant quelque temps après avoir prié avec un praticien. C'est donc ma sœur qui m'a conseillé d'essayer la Science Chrétienne. J'ai senti beaucoup de conviction dans ses mots et, sans l'ombre d'une hésitation, j'ai eu recours aux services d'un praticien de la Science Chrétienne.

Je me souviens que c'était un jour du mois de mars 1983 lorsque j'ai rencontré le praticien. Les premières idées qu'il a partagées avec moi m'ont donné l'impression qu'il se moquait peut-être de moi. J'ai été frustré de l'entendre dire: « la maladie n'existe pas... vous n'êtes pas malade... », alors que c'était tout le contraire que je semblais ressentir et que mon quotidien était devenu insupportable. Voyant ma mine dubitative, le praticien s'est aussitôt empressé d'éclairer mes pensées sur la vraie nature de l'homme créé par Dieu, en me lisant ces versets de la Genèse, dans la Bible: « Puis Dieu dit: Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. [...] Dieu vit tout ce qu'il avait fait; et voici, cela était très bon. » (1:26, 31) Ensuite le praticien a prié silencieusement pour moi. À la sortie de cette entrevue, je me suis senti détendu. En rentrant à la maison, j'ai été surpris de trouver chez moi la même Bible qu'avait utilisée le praticien. Bien que je la lise depuis longtemps, je me suis aperçu que je n'en avais pas compris grand-chose. Cela a profondément galvanisé ma volonté de l'étudier et de la comprendre. Je me rappelle que l'attrait que je ressentais pour la mort s'est évanoui à ce moment-là.

Et alors que cela faisait trois jours que je ne mangeais pas, par manque d'appétit, j'ai eu faim. J'ai pris un verre de jus de fruits et un morceau de pain. Cela m'a paru le premier signe d'une guérison certaine. Pour la première fois, j'ai pu m'asseoir à l'extérieur de mon foyer et regarder tranquillement les passants. Je me suis ensuite assuré d'avoir un exemplaire de Science et Santé et de la Bible toujours à ma portée, pour illuminer mes pensées grâce à des lectures continues.

J'ai compris que j'étais cet homme que Dieu a créé à Son image, selon Sa ressemblance, et non une victime des croyances humaines, selon ce qu'affirment les Écritures « Tel il est, tels nous sommes aussi dans ce monde. » (I Jean 4:17). J'ai compris aussi que toute la création de Dieu est parfaite, et que Dieu gouverne harmonieusement l'ensemble de cette création, y compris l'homme. Par conséquent, il n'y a de place pour aucune sorte d'inharmonie, d'imperfection, de souffrance.

L'assurance de la guérison est devenue limpide pour moi. J'ai saisi que la Vérité est lumière, et qu'aucun semblant d'obscurité, comme par exemple mes croyances erronées à propos de la souffrance, ne peut arrêter la manifestation de cette lumière. Donc, il n'existe pas ce qu'on appelle des « maladies incurables » en face du Tout-puissant, qui est Lumière infinie.

Je ne sais pas exactement quand la libération totale de ces maux s'est produite. Tout ce que je sais, c'est que j'ai repris mes études normalement, sans embûches, et finalement celles-ci ont été couronnées par l'obtention d'un baccalauréat. Ce mal a complètement disparu de ma vie. Je suis témoin qu'avec Dieu, il n'y a rien d'incurable ni de chronique.

Ma gratitude vis-à-vis de ce Consolateur qu'est la Science Chrétienne est sans bornes et pour cela, je rends grâce à Dieu.

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