Je suis reconnaissant à un parent qui nous a invités, ma femme et moi, à une conférence sur la Christian Science il y a quinze ans. Je suis aussi reconnaissant au conférencier, dont la conviction et la sérénité spirituelle nous ont impressionnés au point que lorsque nous avons rencontré une difficulté, nous nous sommes mis à étudier la Christian Science. Cette étude a, peu à peu, changé ma pensée et ma vie, et je suis rempli de gratitude pour plusieurs guérisons obtenues par ma famille et moi-même.
Un profond sentiment de paix m'a envahi et j'ai su que j'étais guéri.
De retour chez nous après avoir passé un merveilleux séjour chez des parents dont nous avons beaucoup apprécié la généreuse hospitalité, j'ai remarqué un jour que mes pieds avaient beaucoup enflé. J'ai eu peur d'avoir contracté une maladie due à une trop grande consommation d'un certain type d'aliment.
En me tournant vers Dieu pour trouver une réponse, j'ai été amené à étudier l'utilisation du mot « enfler » dans Science et Santé de Mary Baker Eddy. Je suis tombé sur le passage suivant: « Ne craignez pas que la matière puisse souffrir, enfler, et s'enflammer en vertu d'une loi quelconque, puisqu'il est évident en soi que la matière ne peut ressentir ni douleur ni inflammation. » (p. 393) Cela m'a aidé à cesser d'avoir peur de l'enflure. Ensuite j'ai prié pour éliminer la peur latente que cela n'entraîne d'autres problèmes physiques.
Je me suis senti réconforté, mais j'ai été complètement guéri quand j'ai lu le passage suivant: « La cause de tout prétendue maladie est mentale; c'est une crainte mortelle, une croyance erronée ou conviction de la nécessité et du pouvoir de la maladie; c'est aussi la crainte que l'Entendement ne soit impuissant à défendre la vie de l'homme et incapable de la gouverner. Sans cette croyance humaine ignorante, aucune circonstance n'a en soi le pouvoir de produire la souffrance. » (Science et Santé, p. 377) Un profond sentiment de paix m'a envahi et j'ai su que j'étais guéri. L'enflure a disparu dès le lendemain.
Une autre fois, mon contrat de consultant auprès d'une compagnie comprenait une clause stipulant que le contrat pouvait être rompu par l'une ou l'autre partie avec un préavis de trois mois. Or, la compagnie envisageait de cesser d'avoir recours à mes services sans préavis. Je considérais que c'était injuste et je me suis immédiatement tourné vers Dieu afin d'être guidé et de trouver la force nécessaire pour ne pas me mettre en colère ni même montrer de l'agacement pendant l'entretien.
Ce soir-là, j'ai étudié et prié avec ferveur. Un cantique dit que l'honneur appartient à Dieu: « Chants de gloire, honneur, pures louanges, / Appartiennent au Seigneur gneur !... » (Hymnair de la Science Chrétienne, n° 73) J'ai pensé à l'alliance éternelle que Dieu a établie avec Abraham et je me suis rappelé que la Bible nous montre que Dieu tiendra Ses promesses. Ces pensées m'ont réconforté et j'ai acquis la certitude que la compagnie honorerait les clauses du contrat. En quelques jours, la compagnie a en effet décidé de respecter les clauses du contrat et j'ai été payé pendant les trois mois de préavis.
Lors d'un voyage à l'étranger avec un collègue, nous avons perdu nos bagages en raison d'un changement d'avion. De nombreux vols avaient atterri et nous n'avions toujours aucune nouvelle de nos bagages. J'ai alors prié de tout mon cœur en pensant au fait que le Principe divin, un autre nom pour Dieu, est toujours présent et qu'il exerce sans cesse son influence.
Quelques minutes plus tard, le réceptionniste de l'hôtel est venu nous annoncer l'arrivée de nos bagages.
Je suis vraiment très reconnaissant pour la découverte de la Christian Science qui m'aide à comprendre que Dieu est « un secours qui ne manque jamais dans la détresse » (Ps. 46:2), un secours auquel nous pouvons avoir recours quelles que soient nos activités.
Bombay (Maharashtra), Inde