Il y a quelque temps, j'ai découvert une petite grosseur sur mon corps. Les fonctions naturelles sont devenues extrêmement douloureuses.
Je me suis mise à prier. Au bout d'un moment, j'ai appelé ma sœur pour lui demander de prier avec moi.
Je me suis rendu compte qu'il fallait que je comprenne que la volonté de Dieu constituait la seule loi, le seul pouvoir réel. Il est devenu clair que la création spirituelle de Dieu est parfaite, sans défaut, parce que le Créateur est parfait, sans défaut. Ma sœur m'a fait remarquer le passage suivant dans Unité du bien de Mary Baker Eddy: « Christ ne peut venir au sens mortel et matériel qui ne voit pas Dieu. Ce sens erroné de substance doit céder à Sa présence éternelle, et ainsi se dissoudre. » (p. 60)
J'ai eu la certitude que j'étais à l'instant même unie à Dieu, unie à la Vie, la Vérité, l'Amour divins.
Le mot « dissoudre » a revêtu une signification particulière à mes yeux. C'était ma pensée qui avait besoin d'être transformée et de devenir plus chrétienne. J'étais prête à laisser le Christ transformer ma pensée, éliminer ce qui était erroné et transformer mon caractère. Ce processus, c'était le progrès véritable qui devait se manifester dans ma vie.
J'ai eu la certitude que j'étais à l'instant même unie à Dieu, unie à la Vie, la Vérité, l'Amour divins. J'étais libre, peu importait mon état physique apparent.
Tandis que je méditais ces vérités, la difficulté physique a disparu. Le corps fonctionnait de nouveau normalement, sans entraves ni douleur. Ce qui était dissemblable au Christ avait été dissout.
Kista, Suède