Pour Beaucoup, la vie en prison crée des tensions psychologiques, mais, lorsque j’ai été incarcéré pendant cinq mois, j’ai découvert que la lecture quotidienne de la Leçon biblique de la Science Chrétienne et la communion matinale avec Dieu me permettaient de garder ma pensée à un niveau spirituel élevé. J’ai prouvé, à de nombreuses reprises, que Dieu, l’Entendement divin, protège et guérit.
Un jour, alors que je me promenais dans la cour de la prison (j’aimais me promener ainsi durant ma pause de midi), j’étais reconnaissant d’avoir été très vite soulagé après m’être donné un coup de marteau sur le doigt en travaillant. La blessure avait été assez inquiétante et avait attiré l’attention de plusieurs détenus. Je leur avais assuré que tout allait bien et j’avais insisté pour continuer mon travail.
J’avais aussitôt nié qu’il puisse se produire le moindre accident dans la création de Dieu: « Sous la Providence divine, il ne peut y avoir d’accidents, puisque dans la perfection il n’y a pas de place pour l’imperfection » (Science et Santé, p. 424). J’avais refusé de donner de la réalité à la blessure. La douleur avait disparu, mais la blessure était toujours visible et je savais que ma prière n’était pas terminée.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !