J’ai Eu le privilège d’être élevée dans un foyer où la Science Chrétienne était pratiquée avec ferveur et où l’on observait ses enseignements. Ce n’est cependant qu’une fois aux prises avec les difficultés de la vie conjugale et de l’éducation de quatre enfants que j’ai vraiment adopté ses enseignements et qu’ils ont modelé mon existence.
Nous avons eu de nombreuses guérisons et nous avons été protégés et guidés au travers de nombreuses difficultés. Mais, par-dessus tout, nous constatons à quel point le fait de suivre, même de manière modeste, les principes de cette religion nous affranchit de bien des maladies et de bien des tensions habituellement associées à l’éducation des enfants. Sachant que mes enfants étaient les enfants de Dieu, qui S’occupait entièrement d’eux, j’ai peu à peu appris à éviter de les surprotéger, et à vaincre la peur de voir leur santé menacée.
J’aimerais juste relater deux guérisons parmi toutes celles que nous avons pu observer. Alors qu’un de nos enfants n’avait que cinq ans, nous étions en visite chez des amis qui vivaient dans une ferme. Mon cheval était en pension dans cette ferme, et les enfants le connaissaient et l’aimaient bien. A un moment donné, notre fillette s’est approchée avec enthousiasme de la barrière pour donner au cheval une demi-pomme qu’elle tenait à la main. Avec le même enthousiasme, le cheval a refermé la mâchoire sur ce festin et sur la main de l’enfant, et s’est mis à reculer. Je suis parvenue à tenir la tête du cheval pour lui faire desserrer les mâchoires, mais la main de la petite avait une blessure très inquiétante.
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