En Rédigeant un témoignage, comment choisir une guérison particulière, qui surpasserait les autres, lesquelles étaient tout aussi exceptionnelles ? Après tout, les guérisons sont toutes importantes, qu’elles nous paraissent modestes ou extraordinaires. Chacune est une preuve précieuse du fait que l’amour de Dieu guérit. Des guérisons merveilleuses accompagnent l’étude et la mise en pratique des règles de la Science Chrétienne, la découverte remarquable et originale de Mary Baker Eddy.
J’apprécie chaque guérison obtenue grâce à l’étude de la Science Chrétienne. Celle qui occupe le centre de mes pensées est une guérison récente, qui a eu lieu alors que je venais d’emménager dans une nouvelle maison. Je sentais que j’y avais été conduite grâce à mes prières et à la reconnaissance de la présence protectrice de Dieu, qui nous guide.
Un soir, après avoir posté quelques lettres, je me suis rendu compte que la nuit était soudain tombée. Me trouvant dans un nouvel environnement, j’ai senti la crainte m’envahir. Il y avait un trou dans le trottoir et je suis tombée de tout mon poids. Avant cet afflux de crainte, j’avais eu confiance dans le fait que Dieu me guidait pour mon déménagement et que, par conséquent, Il me montrait comment accomplir Ses desseins. Nous lisons dans Science et Santé: « Le christianisme est la base de la vraie guérison. Tout ce qui maintient la pensée humaine dans la voie de l’amour dégagé du moi reçoit directement le pouvoir divin » (p. 192). Au moment de la chute, j’ai éprouvé une sensation de choc et une vive douleur; je m’étais fait mal au bras et à l’épaule. Étendue sur le sol, j’ai déclaré en silence que Dieu était avec moi, qu’Il était omnipotent et omniscient, et que je ne pouvais accepter la réalité de cet accident puisque, ainsi que l’explique Science et Santé, il ne peut y avoir d’accidents sous la Providence divine (voir p. 424). Affirmant une fois encore que j’étais guidée par le Principe divin, j’ai trouvé le courage de me remettre debout. J’avais posté une lettre afin de répondre à une amie qui me demandait de prier pour elle, et je savais que, puisque la loi de Dieu exige que nous nous aimions les uns les autres, le fait d’obéir à Sa loi ne pouvait entraîner ni douleur, ni disparition de la grâce, ni incapacité.
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