« Je suis la porte. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé; il entrera et il sortira, et il trouvera des pâturages. » Jean 10:9. Ces paroles de Jésus promettent, à qui les comprend et les vit, la sollicitude et le gouvernement de Dieu, ainsi que tout ce qui rend l’existence active et productive. Si l’un de ces éléments semble nous manquer, nous pouvons nous réjouir de ce que rien ne nous force à nous y résigner. Nous pouvons ouvrir notre cœur au Christ et commencer maintenant à vivre dans la plénitude que Dieu a prévue pour nous. Un bon début consiste à mieux comprendre la déclaration de Christ Jésus: « Je suis la porte. »
Souvent, les interprétations théologiques courantes de ce passage affirment que nous sommes sauvés de nos péchés, c’est-à-dire que nous échappons au châtiment qui en découle, simplement en acceptant, verbalement ou mentalement, que Jésus soit le Sauveur. De cette manière, Jésus de Nazareth est considéré comme la porte ouverte, la voie du salut, pour quiconque croit avec foi qu’il en est ainsi.
Cette interprétation, couramment admise, de la manière d’accéder au salut nous apporte certain réconfort, puisqu’elle nous assure que nous avons la capacité d’y accéder et de revendiquer notre liberté par rapport au péché, liberté conférée par Dieu. Mais pouvons-nous réellement faire preuve de spiritualité et être régénérés en nous contentant de croire que Jésus est mort pour nos péchés ? Se peut-il que cette promesse se résume à cela ? Qu’advient-il des nombreuses autres questions soulevées par cette interprétation ? Par exemple, certains ont probablement considéré injuste que Jésus soit mort pour nos péchés. Semble-t-il logique Dieu, l’Amour divin, envoie Son Fils unique, qui était sans péché, et le punisse, lui, de telle sorte que nous, nous ne soyons pas punis pour nos péchés ?
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