Seule une théologie de la mortification, préconisant le port du cilice, pourrait contester le droit à la joie, en décrétant que même le bonheur désintéressé constitue un péché, et qu’on ne trouve la vertu que dans la souffrance. L’esprit humain se révolte d’instinct devant une notion si cruelle.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !