C’est vers l’âge de cinq ans que je commençai à fréquenter une École du Dimanche de la Science Chrétienne. Puis, lorsque j’eus onze ou douze ans, je cessai d’y aller parce que je ne me sentais pas intéressée par la religion.
Des années plus tard, je devais prendre conscience que ces enseignements de l’École du Dimanche avaient été fort précieux pour moi. A cette époque, je tombai malade. Je souffrais beaucoup et ressentais beaucoup de crainte. Le médecin que je consultai diagnostiqua des kystes ovariens et il me prescrivit des médicaments pour une durée de trois mois. Ces trois mois étant écoulés, je retournai le voir. Il me dit que j’avais été guérie de façon remarquable et que tout était parfait, sauf que je souffrirais de ce problème par intervalles, pendant tout le reste de ma vie. En quittant son cabinet je pensai: « Ce n’est sûrement pas là la guérison que l’on m’a enseignée à l’École du Dimanche. La guérison par la Science Chrétienne est permanente ! »
Lorsque les symptômes reparurent, j’écrivis sur une feuille une vérité spirituelle tirée d’une œuvre de Mary Baker Eddy qui correspondait à ma situation (je ne me souviens plus de quoi il s’agissait exactement); je posai la feuille sur mon bureau à mon travail, j’appris la citation par cœur et y pensai fréquemment. Peu de temps après, j’étais réellement guérie. Cela s’est passé il y a une vingtaine d’années et depuis lors cette difficulté n’a jamais reparu.
Pourtant, malgré cette merveilleuse guérison, je ne devins une étudiante de la Science Chrétienne que huit années plus tard. Je commençai alors à fréquenter une filiale de l’Église du Christ, Scientiste, et ce fut comme un retour au foyer. Je devins membre de cette église ainsi que de L’Église Mère et je suivis le cours de Science Chrétienne. Être membre de cette église et participer de tout cœur à ses activités ont été les plus grandes bénédictions de ma vie.
Un jour, je me réveillai en me sentant très malade. De plus, je boitais d’une jambe. Je ne me sentais pas bien du tout, mais j’avais du travail à faire pour l’église, et je ne voulais pas que quoi que ce soit m’empêche de l’accomplir. Je décidai de continuer ma journée comme prévu.
Je réfléchis au fait que, lorsque nous écoutons la radio, nous voulons entendre clairement la station, sans parasites. S’il y a des interférences, nous continuons à régler le poste jusqu’à ce que le son soit clair. Je me consacrai ce jour-là à « régler le poste » de ma pensée par la prière, à rester pleinement consciente de la puissance de Dieu et de Sa présence éternelle. Je savais que Dieu est Amour, et que j’étais véritablement Son enfant, Son image et Sa ressemblance. Je compris que si je croyais que je pouvais être moins que spirituellement parfaite, ce n’était qu’une « suggestion parasite » — une pensée erronée — et je refusai de la laisser s’immiscer dans mon activité.
Maintenir cette position spirituelle exigea de moi beaucoup de discipline, mais lorsque je rentrai chez moi, je me sentais bien et ma jambe était redevenue normale. En outre, je me rendis compte plus tard qu’une grosseur, qui se trouvait sur ma paupière depuis plusieurs mois, avait complètement disparu. Comme nous le dit Mary Baker Eddy (Science et Santé, p. 261): « Fixez fermement votre pensée sur ce qui est permanent, bon et vrai, et vous le ferez entrer dans votre existence dans la mesure où cela occupera vos pensées. »
J’ai eu de nombreuses autres guérisons en Science Chrétienne. L’arthrite, l’habitude de boire de l’alcool et de fumer, une timidité extrême et un caractère emporté ont tous disparu.
Je suis extrêmement reconnaissante d’avoir fait un mariage heureux et de connaître un sentiment de paix permanent. Alors qu’avant de commencer sérieusement l’étude de la Science Chrétienne, il y avait dans ma vie bien des hauts et des bas, j’éprouve maintenant l’impression d’être proche de Dieu, d’être soutenue par Sa force. Je me sens tout-à-fait en sécurité, et cela je le dois uniquement à ce que j’ai appris sur Dieu grâce à la Science divine.
Barrington Hills (Illinois), U.S.A.
Je peux garantir la véracité des guérisons que ma femme a relatées. Je suis heureux qu’elle les ait communiquées. Nous avons recours aux enseignements de cette Science chaque jour, et les bienfaits qui en résultent sont visibles dans chaque aspect de notre vie.
Mon âme, bénis l’Éternel,
et n’oublie aucun de ses bienfaits !
C’est lui qui pardonne toutes tes iniquités,
qui guérit toutes tes maladies ;
c’est lui qui délivre ta vie de la fosse,
qui te couronne de bonté et de miséricorde.
Psaume 103:2–4
