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J'aimerais exprimer ma gratitude pour la splendide guérison qui eut...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de septembre 1983


J'aimerais exprimer ma gratitude pour la splendide guérison qui eut lieu à la naissance de notre second enfant. Ma femme ayant eu notre premier enfant par césarienne, le verdict médical était qu'elle ne serait pas physiquement en mesure d'avoir un autre enfant d'une manière normale. Lorsque nous eûmes connaissance de la seconde grossesse, ma femme résolut cependant d'avoir l'enfant d'une manière normale. Nous étions confiants que les vérités de la Science Chrétienne pouvaient inverser les croyances médicales concernant la naissance, y compris l'idée qui veut qu'une fois qu'on a eu une césarienne, on aura toujours une césarienne. Nous engageâmes immédiatement une praticienne de la Science Chrétienne pour qu'elle nous soutienne par la prière.

Pendant les quelques mois suivants de prière et d'étude, plusieurs aspects de notre vie qui avaient besoin d'être traités vinrent à la surface. Nous devions reconnaître que si nous voulions «ouvrir la voie» au bébé, nous devions ouvrir notre pensée à la nature spirituelle de l'homme en tant qu'idée de Dieu. Cela voulait dire que nous devions reconnaître le fait que parce que l'être est spirituel, il n'est pas «obstrué» par des conditions matérielles. Ce raisonnement aboutit à faire «tomber» bien des barrières, notamment dans les relations entre ma femme et moi, et avec d'autres membres de notre famille. Et le désir nous vint de rompre avec la matérialité de bien des façons.

Des témoignages de guérison dans les périodiques de la Science Chrétienne parlant de femmes qui, par la prière, avaient eu un accouchement normal au lieu d'une césarienne, nous encouragèrent et nous fortifièrent. Ces récits affermirent notre résolution de compter radicalement sur notre compréhension de la Vérité divine pour la naissance.

Lorsque le travail commença, le bienveillant médecin qui s'occupait de ma femme et le personnel de l'hôpital nous autorisèrent, la praticienne de la Science Chrétienne et moi-même, à rester à ses côtés pendant l'accouchement. Lorsque venaient les contractions, nous attachions au fait qu'une idée spirituelle n'est pas touchée par la douleur.

Au bout de quelques heures, le médecin examina ma femme et constata qu'il n'y avait pas beaucoup de dilatation et que la tête du bébé n'était pas assez descendue. Pendant un court instant, ma femme et moi fûmes remplis de désespoir. Nous fûmes tentés de croire que cette naissance était comme la première, au cours de laquelle des circonstances similaires nécessitèrent une césarienne. Mais la praticienne nous aida à demeurer fermes dans notre résolution. Peu après, le médecin consentit à laisser le travail continuer un peu plus longtemps.

La praticienne, ma femme et moi nous redoublâmes nos efforts par la prière. Nous affirmâmes le bien-fondé de chacune des vérités spirituelles qui nous étaient venues, et nous continuâmes à recourir à notre Père céleste pour recevoir la manne qui nous soutiendrait. L'exhortation de Mrs. Eddy nous est venue à l'esprit: «Travaillez—travaillez—travaillez—veillez et priez» (Message to The Mother Church for 1900, p. 2).

Quelques heures plus tard, il y eut un léger progrès dans la dilatation. Mais c'était un progrès solide. Et pour nous, c'était la preuve que la Vérité se manifestait. Nous étions prêts à laisser «la patience [accomplir] parfaitement son œuvre» (Jacques 1:4). Puis finalement, les mois de préparation et les heures de prière et d'effort portèrent leurs fruits. Notre précieuse fille naquit normalement, à notre immense satisfaction. Et le premier à s'en réjouir et à louer Dieu fut le médecin!

Ma femme ne souffrit d'aucune suit fâcheuse bien que ce bébé fût plus gros que le premier. Lors d'un examen post-natal, un second médecin demanda à voir les points de suture. Il fut étonné lorsque ma femme lui répondit qu'elle n'en avait pas. Nous apprîmes par la suite que le personnel de l'hôpital s'était tenu prêt à pratiquer une césarienne. Ce fut une cause de grand étonnement lorsque ma femme accoucha normalement.

Cette épreuve a été un jalon spirituel pour tous les deux. Les limitations matérielles n'auront plus jamais le même semblant de légitimité. Nous avons aussi appris qu'il ne suffit pas d'appeler un praticien, et de se rendormir en espérant que tout ira bien le lendemain matin. Nous devons avoir le désir d'être fermes, d'être prêts à veiller des nuits entières si nécessaire. Alors seulement serons-nous les témoins de l'aube de la gloire de Dieu qui vainc l'obscurité de la nuit la plus sombre!


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