En affirmant promptement la présence de Dieu, ma femme nia la croyance qu'un accident et une blessure étaient survenus, et à aucun moment durant cette épreuve je n'ai ressenti une douleur quelconque.
Après la chute, j'ai essayé à plusieurs reprises de remettre physiquement en place la cheville et le pied. Je me rendis compte par la suite qu'en agissant ainsi je tendais à faire une réalité de la croyance que je m'étais fait mal. J'hésitais entre deux opinions: la version matérielle des événements et la spirituelle. Je m'en rendis compte par la suite quand ma femme me demanda de faire mon choix pour le traitement des fractures. Dans Science et Santé, Mrs. Eddy nous dit (p. 458): «Rien n'est moins scientifiquement chrétien que de songer à aider le Principe divin de la guérison ou d'essayer de soutenir le corps humain jusqu'à ce que l'Entendement divin soit prêt à s'occuper du cas.» En dépit de mes efforts irréfléchis pour remettre moi-même le pied en place, quand ma femme me demanda de choisir, j'eus la conviction profonde que je désirais m'appuyer entièrement sur la Science Chrétienne. Cette foi confiante ouvrit ma pensée au point qu'elle accepte les vérités curatives que ma femme commençait à me donner, et permit à l'Entendement de s'occuper du cas en tant que médecin.
Le traitement métaphysique de la prière commença à modifier l'effet de ma croyance erronée concernant la blessure et bientôt tout se remit doucement en place. Parce que l'Entendement avait fait la rectification qu'il fallait, j'avais la certitude que le plâtre du chirurgien ne serait pas nécessaire pour maintenir la jambe en place—et cela se révéla exact.
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