« Le jour où je t'ai invoqué, tu m'as exaucé, tu m'as rassuré, tu as fortifié mon âme » (Ps. 138:3). A une certaine époque, j'invoquais Dieu afin de trouver force et réconfort. La réponse vint le jour où je fus guidée vers la Science Chrétienne et, par là même, vers la force, le réconfort et la guérison.
Désespérée par une seconde fausse couche, je me mis à lire notre livre d'étude, Science et Santé de Mary Baker Eddy. (Le livre était à la maison car mon mari étudiait la Science Chrétienne.) Prenant très vite conscience de ce que ce livre contenait la réponse à mes problèmes, je demandai que soit annulé un rendez-vous prévu chez un médecin spécialiste. Puis je me mis à étudier les Leçons bibliques, à assister aux services du dimanche ainsi qu'à des réunions de témoignage du mercredi dans une filiale de l'Église du Christ, Scientiste, et à lire les périodiques de la Science Chrétienne.
Un jour, quelques mois plus tard, une phrase de Science et Santé continuait de retentir dans ma pensée avec tant d'insistance que je la recherchai (p. 428): « Nous devons comprendre clairement que la puissance mentale peut contrebalancer les fausses conceptions humaines et les remplacer par la vie qui est spirituelle, non matérielle. » En méditant ce merveilleux message, je vis soudain en quoi je m'étais trompée. J'avais pensé que la vie était matérielle et, par conséquent, susceptible d'être perdue. Alors que nulle part la Vie ne peut se perdre, puisque l'Esprit est Tout et qu'Il est partout, qu'Il est la seule Vie réelle.
Plus tard, lorsque je m'aperçus que j'étais à nouveau enceinte, je m'attachai aux vérités de l'existence spirituelle que j'avais apprises dans le livre d'étude de la Science Chrétienne, ainsi qu'à ces mots de Christ Jésus (Jean 6:63): « C'est l'esprit qui vivifie; la chair ne sert de rien. » Un fils nous est né de façon parfaitement harmonieuse; je reçus le traitement d'un praticien de la Science Chrétienne pendant cette période. Et aujourd'hui j'ai trois beaux garçons. J'ai reçu beaucoup plus que je n'avais d'abord même désiré. Non seulement j'ai ces adorables enfants, mais également j'ai constamment la possibilité de les voir, eux et tous les autres, sous leur jour véritable d'idées de Dieu spirituelles. Je continue de croître en compréhension spirituelle, de ressentir dans chaque aspect de ma vie le pouvoir du Christ, qui me permet de m'élever — et de connaître un sens joyeux de progrès ininterrompu.
Notre famille a obtenu de nombreuses guérisons grâce à la Science Chrétienne. Les effets de piqûres, de brûlures et d'accidents ont été guéris et il y a eu de prompts rétablissements de ce qu'on appelle « maladies infantiles ». Avec l'aide d'un praticien de la Science Chrétienne, alors qu'un de mes enfants avait des vers, ce problème fut résolu immédiatement après avoir été décelé sans que l'enfant s'en fût aperçu.
Au début de mon étude de la Science Chrétienne, la guérison instantanée d'une piqûre d'abeille fut pour moi une source d'inspiration. Toute trace de malaise se dissipa tout simplement alors que je méditais ce passage de Science et Santé (p. 514): « Toutes les créatures de Dieu, se mouvant dans l'harmonie de la Science, sont inoffensives, utiles, indestructibles. » Par ailleurs j'ai été guérie depuis plusieurs années de sévères maux de tête qui revenaient assez régulièrement avant que je connaisse la Science. Les maux de tête disparurent sans prière spécifique à ce sujet.
Un jour, un de nos fils parut très mal. Je téléphonai à un praticien pour lui demander de l'aide. Lorsque je revins le voir après avoir téléphoné, l'enfant jouait normalement, ne présentant aucun signe d'inharmonie. Il avait été instantanément guéri.
Une autre guérison pour laquelle je suis particulièrement reconnaissante est celle de rapports orageux que j'entretenais de longue date avec un proche parent. Cette guérison survint à la suite d'une dispute qui m'amena à prier au sujet de cette situation. J'en vins à voir que les idées de Dieu expriment l'amour, et que par conséquent la seule chose qui existât entre nous, c'était l'amour. Ayant pris conscience de ce fait, j'écrivis une lettre pleine d'amour à cette personne, sans faire mention du désaccord. Mais avant même que la lettre ne fût arrivée à destination, je reçus un coup de téléphone de ce parent, qui, entre autres choses, me présentait ses excuses, ce que j'avais auparavant considéré comme inconcevable de sa part. Depuis ce moment-là, cette personne, bien que n'étudiant pas la Science, m'a demandé à plusieurs reprises de lui donner un traitement en Science Chrétienne pour vaincre des difficultés physiques et elle a à chaque fois été libérée très rapidement.
En de nombreuses autres occasions, j'ai pu constater que, quel que soit le problème, on peut toujours se fier à la Science pour qu'elle indique le chemin. Je ne puis m'empêcher d'être reconnaissante du fait que la lumière de la Vérité continue d'envelopper ceux qui la cherchent et de guider les hommes vers elle. Je suis sincèrement pleine de gratitude envers Dieu pour la Science Chrétienne.
Stockport (Cheshire), Angleterre