Reconnaissant, oui, de pouvoir
élargir mon sens d’amour
au-delà du moi.
Si l’amour
dont procède une guérison se limite
au moi, ce sens d’amour
est alors
incomplet.
Et si, pendant le « Notre Père »,
je m’applique à inclure tout le monde,
mon sens de l’Église
ne sera jamais moins que
complet.
Et cette communion
n’est pas une pâle abstraction,
une sorte de fraternité
améliorée, car humble
et naturelle, elle vient
de l’amour de Dieu
que l’on ressent
dans la pratique quotidienne,
précisément.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !