Christ Jésus démontra maintes et maintes fois le pouvoir guérisseur et régénérateur de Dieu. Sur la montagne, et le long des chemins, il répondait aux besoins des individus et à ceux des foules. Le nombre n’était jamais un obstacle pour lui. Mais en une certaine circonstance Jésus exigea que les ingérences et le scepticisme humains s’éteignent et soient chassés de la scène.
L’Évangile de Marc relate que la fille unique d’un certain Jaïrus était tombée gravement malade. Voir Marc 5:22-24, 35-43. Celui-ci, chef de la synagogue, demanda personnellement au Maître de venir guérir sa fille. Comme il s’en retournait avec Jésus, un messager vint lui dire que l’enfant était morte. Lorsqu’ils arrivèrent à la maison, les membres de la famille et les pleureuses se lamentaient déjà.
Jésus n’était pas homme à prendre les apparences pour un verdict final. Il s’attacha à la vérité spirituelle de la vie éternelle, la vie qui est maintenue à jamais dans les bras de Dieu, l’Amour divin. Et Jésus réfuta l’image de la mort et du chagrin par cette affirmation inspirée par la Vérité: « Pourquoi pleurez-vous ? L’enfant n’est pas morte, mais elle dort. »
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