Lorsque j'étais étudiante de première année à l'université, un médecin me dit que j'avais un désordre métabolique et que je devrais prendre des médicaments jusqu'à la fin de ma vie. Souvent j'essayais de me passer des pilules, mais la fatigue s'ensuivait toujours. Parfois, je me levais au milieu de la nuit pour prendre le médicament, sachant combien je souffrirais si je m'en abstenais. Peu à peu les doses augmentaient. Désirant ardemment trouver une solution, je commençai une longue étude de différents systèmes qui promettent la guérison.
Des années plus tard, on m'envoya le livre La Science Chrétienne: un siècle de guérison. Lorsque je lus ces belles guérisons scientifiques, je me rendis compte qu'elles étaient de sincères hommages au pouvoir de Dieu — Dieu qui est la Vie et que j'avais tant cherché. Immédiatement, j'achetai un exemplaire de Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy, le livre d'étude mentionné dans les témoignages. Quelle révélation !
Je décidai de cesser de prendre des médicaments. Mais bientôt je me rendis compte que la volonté humaine ne joue aucun rôle dans une guérison par la Science ChrétienneChristian Science (’kristienn ’saïennce), mais que la compréhension spirituelle est requise. Il y avait beaucoup à apprendre de l'étude de la Bible et de Science et Santé. Je priai humblement, puis je regardai en arrière, objectivement, les circonstances de ces premiers mois à l'université. Mes valeurs avaient été sans arrêt mises en question. Ce que j'avais vu se dérouler autour de moi était extrêmement troublant. Un jour, j'avais eu un « trou », une absence, pendant un examen, bien que je fusse une bonne étudiante. Finalement les fonctions normales du corps féminin s'étaient interrompues. De plus, j'avais souvent des crises de larmes. C'est à cette époque que j'étais allée chez le médecin qui avait diagnostiqué le désordre métabolique.
Maintenant, douze ans plus tard, l'erreur était mise à jour pour être détruite par la Vérité divine. Mrs. Eddy écrit (Science et Santé, p. 530): « L'histoire de l'erreur est le récit d'un rêve. Le rêve n'a ni réalité, ni intelligence, ni entendement; donc celui qui rêve et le rêve ne font qu'un, car ni l'un ni l'autre n'est vrai ni réel. » L'agitation que j'avais ressentie quand j'étais jeune étudiante s'était manifestée corporellement sous forme de forme de désordre. Mais maintenant, à la lumière de la Science, je pouvais discerner que je n'avais jamais été une mortelle, troublée et malade. Cela avait été « le récit d'un rêve ». J'étais en fait l'enfant de Dieu, Son reflet radieux. Et rien n'était jamais survenu pour troubler ma perfection spirituelle. A mesure que je réfutais la croyance à la maladie et revendiquais ma perfection spirituelle, je me rétablis. Cette guérison d'un désordre métabolique s'est produite il y a six ans. Depuis, j'ai appris à faire du ski, j'ai marché sac au dos pendant sept jours et je joue régulièrement au tennis.
Une fois, en rentrant chez moi en voiture, je fus saisie de nausée et de migraine soudaines et violentes. A peine capable de me tenir debout en arrivant à la maison, j'appelai immédiatement une praticienne de la Science Chrétienne. Elle me demanda de me reposer pendant qu'elle priait pour moi. Je m'endormis dans le fauteuil le plus proche. Quelque temps après, je me réveillai et je préparai le dîner pour ma famille, ensuite j'assistai à un cours de trois heures dans une université proche. J'étais tout à fait bien.
Mes enfants et moi avons eu des guérisons de rhumes, de la varicelle, de maladies virales, de luxations et de brûlures.
Pour moi, la Science Chrétienne est la Science de l'Amour. Un concept scientifique de l'Amour est trop intelligent pour accepter les conditions des sens matériels. Cet Amour ne peut pas accepter le bien-fondé de la haine, de la maladie, de la discordance, ni même de la mort, car ces choses n'ont ni logique ni signification dans la réalité de l'être immortel. La Science Chrétienne est le « murmure doux et léger » de l'Amour me communiquant la vérité avec intelligence comme il la communique à toute l'humanité.
Orlando (Floride), U.S.A.
