Il y a plus de trente ans, les autorités médicales m'avaient condamnée. Mais je ne voulais pas mourir ! Je voulais vivre pour mon mari et pour mon fils — le voir grandir. Je demandai donc à mon infirmière d'écrire une lettre pour moi. La lettre était destinée à une amie qui m'avait invitée chez elle pour passer un week-end pendant que j'étais à l'université.
Tandis que j'étais couchée sur ce qui devait être mon lit de mort, je me souvins de ce week-end, bien que près de vingt ans se fussent écoulés. Je me rappelai l'église de la Science Chrétienne qu'elle m'avait indiquée dans sa ville et ses explications enthousiastes au sujet d'une guérison qu'elle avait eue d'une double pneumonie. Mon amie aussi avait été condamnée, mais avec l'aide d'une praticienne de la Science Chrétienne, elle avait été guérie en moins d'une semaine. Je décidai que si Dieu avait pu la guérir, je pouvais certainement avoir confiance en Lui pour qu'Il me guérisse.
Très vite, la réponse de cette amie me parvint. Voici la première ligne de sa lettre: « Dieu est Amour et Il t'aime. » Lorsque j'entendis cela, non seulement je trouvai la force de me retourner dans mon lit, mais je bondis, enfilai une robe et descendis à la cuisine, où je dînai avec ma famille.
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