Au moment de sa découverte de la Science Chrétienne, Mary Baker Eddy entreprit sa grande mission d'interprète de la Bible. Ce fut à ce moment, lorsqu'elle saisit la signification spirituelle d'un passage de Matthieu qu'elle venait de lire, que la Science de la Bible se fit jour à son sens spirituel. Et à cet instant, elle fut instantanément guérie d'une blessure sérieuse. Elle avait trouvé le lien entre la vraie théologie et la guérison.
En ce bref instant, Mrs. Eddy découvrit la vérité de la vie pure et impeccable de l'homme dans l'Esprit, et elle reconnut que la matière est l'état subjectif de l'entendement charnel, ou mortel — l'entendement décrit par Paul comme « inimitié contre Dieu » Rom. 8:7;. Elle vit la distinction entre l'affection de la chair et l'affection de l'esprit, et l'effet de guérison de cette dernière sur la santé (voir Écrits divers de Mrs. Eddy, p. 24). Les années suivantes de recherches ferventes consacrées à la Bible lui apportèrent la compréhension de la loi divine — la force de la volonté de Dieu — et son pouvoir sur la matière et le péché, comme le relatent les Écritures. La vie et les enseignements de Christ Jésus lui apprirent la vraie théologie, qui inclut la guérison.
La démonstration de la Science Chrétienne exige une certaine compréhension des points de vue spirituels à partir desquels notre Leader interprète les Écritures: la totalité et la bonté de Dieu, l'Esprit, et le néant de la matière, qui est l'opposé de l'Esprit; la perfection de l'homme de Dieu, dont l'origine et les capacités se trouvent dans l'Esprit, non dans la matière; et la nature hypothétique du mal, qui n'a pas de place dans la création de Dieu.
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