Qu'est-ce qui pousse principalement les étudiants actifs de la Science Chrétienne à l'étude et au travail métaphysique ? N'est-ce pas un profond désir de mieux connaître Dieu, d'être plus joyeusement conscients de la présence de Dieu et de notre unité avec Lui ? Ce sens spirituel d'unité avec Dieu, le Tout Entendement, nous devons tous le cultiver si, en tant qu'individus et en tant qu'église, nous devons grandir pour atteindre à notre pleine potentialité en Christ.
Nous savons tous qu'intellectuellement il est relativement facile de marquer ce grand besoin avec précision, mais que c'est une toute autre chose d'y satisfaire, de travailler avec une telle vigueur et un tel dévouement que nous devenions véritablement conscients de vivre dans la totalité de Dieu — de sentir vraiment cette vérité à un point suffisant pour la démontrer en tant qu'harmonie dans notre vie journalière.
Mais qu'est-ce donc qui parfois ternit notre joie et notre inspiration ? Qu'est-ce qui nous dérobe notre entrain ? Quelle est l'influence qui semble rendre la prière scientifique difficile ou même déplaisante — qui nous rend paresseux dans notre étude et notre prière journalière pour nous-mêmes et pour notre église, nous faisant ainsi perdre l'harmonie et la paix que procure toujours ce travail ?
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