L'Esprit est Tout, le seul « quelque chose ». Même une lueur de ce fait suffit pour élever le niveau de notre vie, pour nous soulager de l'inquiétude, pour guérir.
Bien que nombreux aient été ceux qui, au cours des âges, n'ont pas pris conscience de ce que signifiait la totalité de l'Esprit, c'est néanmoins un fait scientifique que l'on peut prouver par la guérison. Que la matière soit fiction, néant (et cela est un élément important dans l'amélioration du sens humain des choses) ne peut être perçu que dans la perspective de l'omniprésence de l'Esprit. C'est cette perception qui spiritualise notre pensée et notre action.
Pour des Scientistes Chrétiens, ces points sont familiers. Mais il n'y a pas de meilleur moment que Noël pour reconsidérer, et réaffirmer, ce que ces vérités impliquent réellement. Dans un message de Noël, aussi à propos maintenant qu'au moment où elle l'écrivit, Mary Baker Eddy dit: « Noël respecte trop le Christ pour se noyer dans des moyens et des fins simplement temporaires. Il représente l'Ame éternelle, source de connaissance, reconnue seulement dans l'harmonie, dans la beauté et la munificence de la Vie éternelle, dans la vérité qui est la Vie, la Vie qui guérit et sauve l'humanité. Un Noël éternel rendrait la matière étrangère, sauf comme phénomène, et la matière se retirerait avec respect devant l'Entendement. Le despotisme du sens matériel, ou la chair, s'enfuirait devant une telle réalité, pour faire place à la substance, et l'ombre de la frivolité et l'inexactitude du sens matériel disparaîtraient. » The First Church of Christ, Scientist, and Miscellany, p. 259;
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