Ceci n'est pas un article sur la musique. Il est vrai que, dans le titre, j'ai utilisé un terme musical, le mot « symphonique ». Mais ce que je désigne ici par être symphonique dépasse de beaucoup les symphonies, les poèmes ou les orchestres symphoniques.
Le mot « symphonique » vient d'un mot grec qui signifie « concordant par le son ». Et « concordant » vient d'un terme latin qui veut dire « consentement du cœur ». L'expression « être symphonique » évoque un sens de l'existence harmonieuse de Dieu Lui-même et aussi du gouvernement harmonieux qu'Il exerce sur Son propre univers où chaque détail le plus infime se meut en un parfait accord dans le champ illimité de l'Amour divin, l'Entendement qui est Tout. Le gouvernement harmonieux de Dieu comprend nécessairement l'homme parfait qui est Sien, l'homme véritable, notre identité réelle.
Pour qu'un morceau de musique symphonique voie le jour, il faut que trois fonctions soient mises en jeu, la création, l'expression et la direction. Le compositeur crée la partition, une structure ordonnée de notes. Cette partition est ensuite exprimée par toute une variété d'instruments orchestraux. Et ces divers éléments sont dirigés avec précision par le chef d'orchestre.
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