« Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, et mon âme le reconnaît bien » (Ps. 139: 14).
Dans ma jeunesse, une personne que je chérissais et qui était Scientiste Chrétienne attira mon attention sur cette religion. Je souffrais, à cette époque, d'un eczéma tenace qui couvrait mes mains et mes avant-bras. L'aide et les conseils de différents médecins, ainsi qu'un séjour de plusieurs semaines dans un hôpital, n'amenèrent pas la guérison. Je me rendis finalement chez une praticienne de la Science Chrétienne et sollicitai un traitement basé sur la prière. Je me mis à lire les écrits et les périodiques de la Science Chrétienne, afin de reconnaître le bien et la création spirituelle de Dieu. Mrs. Eddy écrit (Science et Santé, p. 241): « La Bible enseigne la transformation du corps par le renouvellement de l'Esprit. » Et plus loin, sur la même page, elle écrit: « Nous devrions nous efforcer d'atteindre les hauteurs d'Horeb où Dieu se révèle; et la pierre angulaire de toute édification spirituelle est la pureté. » De plus en plus, le Christ, la Vérité, détournait ma pensée du corps, la dirigeant vers ce qui est réel et spirituellement parfait, vers ce qui est bon. Je fus guérie.
Des années plus tard, je tombai sérieusement malade d'un mal pour lequel aucun diagnostic ne fut recherché, car je décidai de m'en remettre à la Science Chrétienne. Je demandai à une praticienne qui m'est chère de m'aider. Mon corps se mit à peler de la tête aux pieds. La fièvre et une grande lassitude m'envahirent. Une de mes connaissances qui vint me rendre visite pensa que je devais consulter un médecin. Je tins bon quant à ma décision de m'en remettre à la Science Chrétienne. Ma médecine fut les beaux cantiques de l'Hymnaire de la Science Chrétienne, et je lus avec inspiration les articles religieux du Christian Science Monitor. En moins de trois semaines, un nouvel épiderme s'était formé et je fus rapidement capable de reprendre mon travail. En vérité, je peux joyeusement chanter les paroles du cantique nº 123: « Les flammes ne te blesseront pas; mon seul dessein,/Oter tes scories et affiner ton or. »
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