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Mon cœur est plein de gratitude pour les nombreuses bénédictions...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mars 1978


Mon cœur est plein de gratitude pour les nombreuses bénédictions qui me sont advenues par suite de l'étude et de l'application de la Science Chrétienne. J'étais soignée par une doctoresse qui me dit que plus rien ne pouvait être fait pour moi. Au cours de la visite, la doctoresse me demanda avec bienveillance: « Croyez-vous en Dieu ? » Je lui répondis affirmativement, mais en rentrant chez moi je pensai: « Comment peut-on croire en ce que l'on ne connaît ou ne comprend pas ? » Je commençai à lire la Bible journellement. Un verset, en particulier, occupait constamment ma pensée (Ps. 119:18): « Ouvre mes yeux, pour que je contemple les merveilles de ta loi ! »

Quelques années auparavant, une tante qui assistait aux services d'une église filiale m'avait parlé de la Science Chrétienne. J'avais aussi acheté Science et Santé de Mrs. Eddy, mais j'avais mis le livre de côté parce que je pensais que je ne pouvais pas le comprendre. Un jour, en ouvrant une boîte qui avait été rangée dans un placard, Science et Santé s'en échappa et tomba sur mes genoux. En ramassant le livre, je lus ce passage (p. 306): « La vie démontre la Vie. L'immortalité de l'Ame rend l'homme immortel. Si Dieu, qui est la Vie, était séparé, ne fût-ce qu'un seul instant de Son reflet, l'homme, durant cet instant la divinité ne serait pas reflétée. L'Ego serait inexprimé, et le Père, étant sans enfants, ne serait point Père. » Ces mots semblaient se détacher. Je ressentis une paix, une liberté et une joie que je n'avais jamais connues jusque-là. Ce qui n'avait pu être guéri par la science médicale fut guéri sur-le-champ et je le perçus clairement ! Une peur de la mort, qui m'avait tourmentée pendant un certain temps, fut aussi guérie. Je lus ce merveilleux livre chaque fois que j'avais un moment de libre. J'étais si affamée de ce qu'il m'apportait et il m'a comblée depuis lors.

Je fus guérie du rhume des foins. Ma pensée s'éleva au-dessus de la maladie lorsque je méditai ces paroles d'un cantique (Hymnaire de la Science Chrétienne, n° 182): « Au vaste fleuve de l'Amour/Ouvrez de grands canaux. »

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