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Spécimens du Monitor disponibles pour la promotion des abonnements

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de février 1978

The Christian Science Journal


Dans le courant de l’année dernière, de plus en plus de filiales et de sociétés situées en dehors de l’Amérique du Nord ont compris combien il était important de faire mieux connaître le Monitor dans leur localité. Toutefois, il s’est avéré trop coûteux pour certaines églises de commander des numéros-spécimens pour la promotion.

Maintenant la Société d’Édition veut offrir son aide. Dès maintenant, chaque filiale et société située en dehors de l’Amérique du Nord peut demander un maximum de 104 numéros-spécimens gratuits par an de l’édition hebdomadaire internationale du Monitor.

Ces exemplaires sont uniquement destinés à la promotion des abonnements — à présenter le Monitor à des personnes susceptible d’envisager favorablement l’idée de s’abonner régulièrement à cet hebdomadaire. Ces spécimens ne peuvent être utilisés par les Salles de Lecture, les comités de distribution, les comités s’occupant d’établissements publics (prisons, hôpitaux), et ainsi de suite.

Les commandes d’une quantité quelconque de spécimens peuvent être passées à n’importe quel moment pendant les douze mois qui suivent la première commande et jusqu’à ce que la quantité de 104 numéros ait été atteinte. Un supplément de frais de port sera facturé à ceux qui désirent que les envois leur soient faits par avion. Toutes les commandes de journaux gratuits doivent être adressées à: The Christian Science Monitor, Circulation Sales Department, Field Sales Division, One Norway Street, Boston, MA, U.S.A. 02115.

Il n’y a aucune raison pour qu’une église périclite

Qu’advient-il lorsqu’un membre actif d’une grande et florissante église déménage et se retrouve dans une collectivité dont l’église filiale semble péricliter ? S’il ressemble quelque peu à cet homme d’affaires avec lequel nous nous sommes entretenus récemment, il est tenté de chercher ailleurs pour trouver une filiale plus active, où il pourra se sentir plus à l’aise.

Heureusement, toutefois, ce monsieur et sa femme devaient, pour se rendre à cette filiale prospère, située dans un quartier voisin, passer juste devant l’église qui périclitait. Et cela leur était très pénible. Ce qui les tourmentait bien davantage, c’est que la Science Chrétienne ne semblait pas être bien représentée par la poignée de membres qui restaient. Ce couple demanda conseil à un membre plus expérimenté qu’eux. Et voici l’essentiel de ce qu’elle leur dit: « Allez-y et apportez votre amour. »

Ils y allèrent donc, en devinrent membres et se proposèrent pour faire tout ce qui devait être fait. Ils prirent la résolution, avec inspiration et amour, de voir l’Église telle qu’elle est réellement.

Voici comment ce nouveau membre expliqua la chose: « La pensée prédominante, alors, dans cette filiale, était: “Nous sommes une trop petite église pour faire ceci. Nous n’avons pas assez de membres pour faire cela. On ne peut pas se permettre de...” Nous avons souligné qu’il était nécessaire de voir l’Église dans sa plénitude. Si vous pensez petit et agissez en conséquence, vous serez petits, avons-nous expliqué. Tout d’abord, nous n’avons pas vu grand changement, mais nous savions que le levain de la Vérité était à l’œuvre, transformant la situation. »

Bientôt un nouveau membre est venu, puis une nouvelle famille est arrivée, ce qui fit un élève pour l’École du Dimanche. En trois ans, le nombre des membres a quadruplé et cette progression se poursuit. Les réunions de témoignages du mercredi soir sont de nouveau plus animées et c’est une joie d’y assister. Une pièce pour accueillir les très jeunes enfants a été ajoutée à l’église et la Salle de Lecture a été rénovée de fond en comble. Maintenant, cette filiale s’est jointe à d’autres filiales pour tenir des services dans un établissement pénitentiaire voisin et pour organiser, chaque été, un stand lors d’une foire locale.

« Rien ne nous arrête maintenant », a déclaré le premier des nouveaux membres. « L’amour et la joie sont là, présents, et les visiteurs le ressentent et en parlent. C’est la présence du Christ. C’est quelque chose d’émouvant. Et les gens, ici, sont épanouis, tout comme l’est l’église. Ce n’est pas qu’ils soient en train de faire des travaux prodigieux. Ils sont, tout simplement, eux-mêmes; ils contemplent l’idée spirituelle de l’Église et ils la démontrent de façon pratique. »

Toute cette expérience montre qu’une église n’a absolument pas besoin de péricliter, il n’y a aucune raison pour qu’une église qui décline ne remonte pas la pente. « Le déclin qu’ils ont subi n’était pas nécessaire, conclut ce membre, mais quand je repense au revirement qu’ils ont fait, ça c’est quelque chose que je n’aurais voulu manquer pour rien au monde ! »

L’aide des traductions pour satisfaire un besoin du monde

Une employée du gouvernement s’arrêta un jour devant la boîte de publications gratuites à l’extérieur d’une église de la Science Chrétienne dans le sud-ouest de la France. Elle prit un exemplaire du Héraut de la Science Chrétienne. Aujourd’hui elle va régulièrement à l’église, elle est en train d’amener d’autres personnes à la Science Chrétienne, et conduit ses neveux et les enfants d’un ami — cinq en tout — à l’École du Dimanche.

Dans une université d’Allemagne, un groupe de Scientistes Chrétiens commença à mettre dans deux de leurs dortoirs des exemplaires du Sentinel et du Héraut de la Science Chrétienne et des invitations à leurs réunions bimensuelles. La réaction a été si encourageante que le groupe a commencé à tenir des réunions de témoignages hebdomadaires.

Des traductions de publications de la Science Chretienne sont disponibles dans de nombreuses langues courantes du monde. Des églises et sociétés de nombreuses villes cosmopolites établissent de bonnes relations avec des gens de formations et de caractères ethniques divers dans leurs localités.

Une église canadienne écrit: « Ici nous avons toutes les nationalités. Et une vitrine (de la Salle de Lecture) pleine de traducitons — parfois les Hérauts, parfois les brochures et dépliants — suscite invariablement une réaction positive. »

Leur rapport fait état d’un Tchécoslovaque qui vit dans la vitrine une brochure dans sa langue. Il l’acheta, puis revint quelques jours plus tard acheter « le livre » (Science et Santé de Mrs. Eddy) dont il était question dans l’article. Après être venu au service avec sa femme et sa fille, il vint seul le dimanche suivant. Sa fille était malade, expliqua-t-il, et il se demandait s’il appellerait un docteur ou un praticien de la Science Chrétienne. Il se décida pour ce dernier et l’enfant fut rapidement guérie.

Une église en Allemagne accueillit dans sa Salle de Lecture non seulement ses propres membres, les visiteurs réguliers aux services de l’église et des amis, mais également plusieurs voisins à l’occasion d’une journée dite de la « porte ouverte ».

« Les visiteurs furent inspirés par les publications que les couleurs gaies et vives rendaient attrayantes » nous dit le rapport de cette église. La Salle de Lecture venait de recevoir ce même jour plusieurs colis contenant des brochures, un panneau publicitaire pour Science et Santé et le dernier numéro du Héraut de la Science Chrétienne — le tout en allemand.

Une jeune femme, attirée par l’exposition de la vitrine pendant cette journée de la « porte ouverte », passa une grande partie de la matinée à étudier à la Salle de Lecture et vint à l’église le dimanche suivant.

De nombreux globe-trotters également racontent les expériences heureuses faites en donnant à d’autres les périodiques dans la langue des pays où ils se rendent. « C’est étonnant, dit un touriste, la quantité d’occasions qui se présentent d’offrir des périodiques quand on s’est préparé à partager dans un esprit de prière. »

L’expérience d’une bibliothécaire d’une Salle de Lecture en Angleterre semble être un exemple typique de la nécessité de soutenir par la prière tout effort d’aider les autres. Elle avait passé toute la matinée à s’occuper de comptabilité et d’autres travaux de bureau, et elle n’avait pas eu de visiteurs.

« J’ai soudain pensé, écrit-elle, à ce que Jésus dit au sujet de Marie, la sœur de Marthe, qu’en écoutant ses enseignements, elle avait choisi la bonne part. » Voir Luc 10:38–42.

Aussi la bibliothécaire arrêta-t-elle ce qu’elle était en train de faire et pria-t-elle pour savoir que la Salle de Lecture est un endroit pour ceux qui cherchent la Vérité et que la Vérité attire. Peu après un homme s’arrêta et étudia ce qui était dans la vitrine. Il resta longtemps, puis entra. Il venait du Japon et dit: « Je cherche un Dieu d’Amour. » Leur conversation l’amena à acheter Science et Santé, à prendre note de l’adresse de l’église de la Science Chrétienne à Tokyo et à recevoir un Héraut en japonais.

« Les travaux (de bureau) devaient naturellement être faits, écrit la bibliothécaire, mais j’ai pensé combien il était plus effectif d’écouter pendant cinq minutes que de passer des heures “occupée à divers soins domestiques”. »

Mise à profit de l’esprit de ressource des jeunes

Les jeunes de Première Église du Christ, Scientiste, Göteborg, Suède, prennent une part active aux activités de l’église. Quelques-uns ont pris contact avec d’anciens élèves de l’École du Dimanche pour les encourager à y revenir. Le nombre des élèves a commencé à augmenter. Ils ont aussi formé un comité des jeunes et le thème d’une des réunions de ce comité fut « Comment transformer des Saul en Paul ».

[Extraits de la rubrique « Church in Action » paraissant dans The Christian Science Journal.]

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