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[Original en allemand]

A une certaine époque je ressentis des symptômes de ce qui semblait...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de novembre 1977


A une certaine époque je ressentis des symptômes de ce qui semblait être la tuberculose. Je perdis beaucoup de poids durant ce temps. Je pensai que j'avais trop de travail et me sentis très malheureuse. Je fus traitée par des praticiens de la Science Chrétienne à différents moments, et j'en étais très reconnaissante. Bien des fois, quand je me sentais découragée, je me souvenais des merveilleuses guérisons que j'avais eues grâce à cette religion, au début de mon étude de la Science Chrétienne — guérisons que j'ai relatées antérieurement dans un témoignage paru dans ce même périodique — et chaque fois je trouvais à nouveau la force d'aller de l'avant.

Je m'efforçais de gagner une meilleure compréhension du fait que les symptômes de maladie n'avaient en réalité jamais existé — et non qu'il y avait un état de maladie à guérir car, comme la Science Chrétienne l'enseigne, l'homme est toujours l'idée parfaite du Dieu parfait. J'étudiai beaucoup de passages dans Science et Santé de Mrs. Eddy, au sujet de l'homme. En le faisant, le passage suivant attira particulièrement mon attention (p. 369): « L'homme se rend maître de la matière dans la mesure où celle-ci perd pour le sens humain toute entité en tant qu'homme. » Je me remémorai ce passage bien des fois jusqu'à ce que le fait devînt clair pour moi que l'homme réel — et il n'y en a pas d'autre, quelle que soit l'apparence au sens erroné — n'a jamais été touché par une prétention de maladie, puisqu'il réside, indemne et intact, en Dieu. J'appris à me reconnaître comme étant cet homme. Une grande joie m'envahit quand je me rendis compte que j'étais guérie. Bien des années ont passé et la guérison a été permanente.

J'ai appris à devenir plus ferme dans la vérité, à travers cette épreuve, et à compter davantage sur l'Entendement divin pour avoir les qualités nécessaires à l'accomplissement de mon travail quotidien telles que l'intelligence, la perception, la patience, le désintéressement, et aussi à abandonner les traits négatifs tels qu'un faux sens de responsabilité, le doute, l'impatience. Je compris mieux ce que Jésus entendait quand il dit (Jean 5:19): « Le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu'il voit faire au Père; et tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement. » J'appris à comprendre plus clairement que Dieu S'exprime; que cela est rendu évident par la réflexion divine et se produit sans effort, et qu'aucun fardeau n'est imposé à l'homme en tant que Son reflet.

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