Avant d'entreprendre l'étude de la Science Chrétienne, j'avais souffert pendant plus de trente ans de ce que les médecins appelaient des troubles de l'estomac, du foie et de la vésicule biliaire. Je prenais tous les médicaments prescrits, mais au lieu de s'améliorer, mon état ne faisait qu'empirer. Le dernier médecin que j'avais consulté me recommanda une ablation de la vésicule.
Un jour, une amie qui souffrait de tuberculose me dit qu'elle allait essayer la Science Chrétienne. Je décidai alors que moi aussi j'allais l'essayer, en me disant: « Qu'est-ce que je risque ? » J'avais entendu dire que toute praticienne de la Science Chrétienne a l'habitude de déclarer que l'on n'est pas malade, même quand on sait qu'on l'est. J'allais donc prouver à cette praticienne que j'étais malade. J'avais des furoncles à la nuque et des taches hépathiques sur la poitrine que je lui montrerais.
Je rendis visite à une praticienne qui habitait près de chez moi. Après avoir écouté avec patience le récit de mes peines: « Eh bien, dans tout cela, qu'est-ce qui est le pire ? » demanda-t-elle. « L'estomac, répondis-je. Tout ce que je mange me dérange; cela m'empêche de dormir et me fait beaucoup souffrir. »
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