Voici la suite de l'entretien dont la première partie a paru dans le Héraut d'avril.
Oh, je n'essaie jamais d'apprendre par cœur. Lorsque quelque chose vous devient vraiment familier, vous le savez, c'est tout. Pour moi, la mémoire est une connaissance spontanée. Vous n'essayez pas de vous rappeler votre nom, vous le savez tout simplement. Quand vous savez une chose, vous la possédez pour toujours. Ceci ne veut pas dire que je ne me familiarise pas autant que possible avec une partition et que je ne l'étudie pas vraiment. C'est ce que je fais. Mais je n'essaie pas de l'apprendre consciemment par cœur. Quand vous savez quelque chose suffisamment bien, vous le savez, c'est tout. Je ne crois pas que Christ Jésus ait été obligé de se rappeler qui il était ni ce qu'est Dieu. Il le savait et vivait ce qu'il savait.
Il est très important d'essayer de comprendre ce qui a incité le compositeur à écrire le morceau en question comme il l'a fait. Que ressentait-il ? Qu'est-ce qui l'a poussé à écrire cette œuvre et de cette façon-là ? Voilà où la Science Chrétienne est d'un grand secours, parce que dans la mesure où nous comprenons mieux le fait qu'il n'y a en réalité qu'un seul Dieu, un Entendement infini, qui s'exprime infiniment, nous comprenons que ce même Entendement qui a inspiré le compositeur est cet Entendement qui est ici même avec nous, aujourd'hui.
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