La Science ChrétienneChristian Science: Prononcer ’kristienn ’saïennce. m’a été présentée en octobre 1955 par une chère amie qui se rendit compte que j’en avais besoin. Depuis, cette Science a été mon seul médecin. Avant octobre 1955, j’avais subi quatre grandes opérations et avais été traitée pour troubles rénaux et hépatiques, ainsi que pour l’endométrite et la dysenterie amibienne. Depuis neuf ans et tous les quatre mois environ je me trouvais à l’hôpital.
Les sulfamides et les antibiotiques utilisés durant cette période n’eurent aucun effet durable et finalement perdirent tout degré d’efficacité. J’étais immunisée et ils ne faisaient qu’aggraver le problème. Lors d’un de mes séjours à l’hôpital, je fis de l’hépatite et on me dit que je subirais toujours les effets de cette maladie.
On découvrit plus tard que j’étais maintenant allergique à tous les analgésiques. Je pesais à ce moment-là moins de quarante-cinq kilos et les médecins déclarèrent que, puisque je ne pouvais prendre ni antibiotiques ni analgésiques, il ne me restait qu’à vivre le mieux que je pouvais, et ils me renvoyèrent de l’hôpital.
C’est très peu de temps après que la Science Chrétienne me fut présentée et j’en ai immédiatement entrepris l’étude. Après avoir lu pendant trois heures le premier jour, je me suis endormie d’un sommeil profond et reposant. Quand je me suis réveillée, je savais qu’il s’était passé quelque chose, mais je ne savais pas quoi.
Grâce à l’étude régulière de Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy, en conjonction avec la Bible, et à l’étude quotidienne des Leçons-Sermons contenues dans le Livret Trimestriel de la Science Chrétienne, les symptômes de maladies et les désordres commencèrent à disparaître.
Après avoir suivi le cours d’instruction en 1962, je compris que grâce à la Science Chrétienne, j’avais trouvé le moyen de me débarrasser des concepts erronés et des faux traits de caractère et de ne maintenir dans ma pensée que ce qui est relié à Dieu et à Sa loi. Une meilleure compréhension de Dieu et de la relation de l’homme à Dieu a été établie. Grâce à une acceptation toujours accrue du Principe divin, un sens plus élevé d’honnêteté et des rapports personnels plus harmonieux m’ont apporté une croissance sans cesse grandissante.
En 1966, je fis une demande pour une assurance sur la vie. Étant donné les antécédents de maladie, on procéda à des examens concernant les troubles rénaux dont j’avais souffert. L’infirmière me dit: « Eh bien, vous n’avez pas l’air d’avoir jamais souffert de cette maladie, et vous ne l’avez pas maintenant ! » La guérison fut confirmée à nouveau en 1970, lorsque j’ai dû subir un examen médical détaillé exigé par l’administration des écoles publiques, plus une radiographie, en vue de l’obtention d’un poste.
Je ne puis me rappeler la dernière fois que j’ai dû garder le lit pour cause de maladie, ce dont je suis extrêmement reconnaissante.
Enfant, j’avais entendu parler de la Science Chrétienne et en avais eu connaissance et mon étude a ravivé ce souvenir. Je me souviens qu’un jour, marchant dans la direction de l’église qui se trouvait dans le voisinage, j’avais eu un grand désir d’y assister, mais je semblais en être empêchée tant par une erreur de compréhension que par ignorance. La graine avait été semée, pour apparaître cependant plus tard, lorsque tous les autres moyens avaient échoué.
Je suis très reconnaissante à Mrs. Eddy pour les efforts inlassables qu’elle a faits pour apporter sa découverte à l’humanité, une Science logique, démontrable, qui accomplit la promesse de Christ Jésus concernant la venue du Consolateur. Je suis également reconnaissante envers mon amie dont la compassion a été assez grande pour m’en faire bénéficier.
Hurst (Texas), U.S.A.
