Quand j'avais huit ans, je vivais avec ma grand-mère dans une grande maison dont elle louait les chambres à des étudiants. Un jour, alors que je vidais les corbeilles à papier, je vis de l'argent qui traînait dans une des pièces. Dès lors je me mis à me servir chaque fois que j'en avais envie. Quand on découvrit le pot aux roses, ma tante me parla avec beaucoup d'amour et m'expliqua que c'était très mal. Quelques années plus tard, cependant, je succombais à nouveau à la tentation de voler. L'ayant appris, mon père ne me dit rien à ce sujet, mais, un jour, il vint s'asseoir sur mon lit et me lut le cantique n° 382 de l'Hymnaire de la Science Chrétienne. Voici une strophe de cet hymne:
Cœur pur et sans péché,
Fils de la Vérité,
Où le Christ a marché,
Tu vas, sans hésiter.
J'ai versé des larmes de repentir et fus complètement guérie, sans avoir subi la moindre accusation, la moindre condamnation.
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