Nous avions passé une excellente journée à skier. A présent, avec quelques jeunes de moins de vingt ans, nous étions attablés dans la cuisine, autour d'un jus de fruit chaud à peine plus rouge que nos propres joues. Et nous discutions de ce qui constitue la base de la guérison en Science Chrétienne. Ayant ouvert Science et Santé, notre livre d'étude, j'y lus cet énoncé de Mrs. Eddy: « Si au lieu de tirer nos conclusions concernant l'homme de la perfection, nous les tirons de l'imperfection, nous ne pouvons pas plus arriver à la vraie conception ou compréhension de l'homme, et devenir semblables à cette conception, que le sculpteur ne peut perfectionner les contours de son œuvre en regardant un modèle imparfait, ou que le peintre ne peut représenter la forme et le visage de Jésus, en ayant dans la pensée le caractère de Judas. » Science et Santé, p. 259;
« Nous commençons donc avec la perfection, dis-je, ça, c'est une exigence fondamentale ! »
« Mais, dit Janine en m'interpellant, tout ça c'est très joli, et si j'avais une grosse fièvre ou que j'étais très malheureuse ? La vie me semblerait alors tout à fait imparfaite ! »
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