J'ai eu, il y a bon nombre d'années, une guérison après une lutte de plusieurs jours contre la maladie. La pensée me vint alors de me rendre dans une Salle de Lecture de la Science Chrétienne et d'y rester jusqu'à ce que je sois guéri. Je me mis donc à étudier et à travailler en prière pendant environ deux heures et demie, jusqu'à ce que ma pensée se soit élevée. Et finalement je vis clairement qu'il n'y avait ni matière malade ni matière bien portante; ni bonne matière ni mauvaise; ni matière jeune ni vieille, et qu'en fait je n'étais nullement un mortel en quête de guérison. La guérison physique suivit ce changement de pensée. Ayant reconnu et accepté mon être spirituel parfait et intact, j'étais guéri. J'ai su réellement que c'était en Lui que j'avais « la vie, le mouvement, et l'être » (Actes 17:28).
Une autre fois, j'ai subi une attaque de grippe si forte que je ne pouvais pendant la nuit ni dormir ni me reposer. J'ai demandé de l'aide à un praticien de la Science Chrétienne résidant à quelque 2400 kilomètres. Le lendemain matin j'étais faible et je toussais beaucoup; il me fallait cependant assister à une importante séance de répétition. A mon retour, l'après-midi, je me sentis comme exténué.
Ce soir-là je devais servir comme huissier à la conférence que donnait l'église filiale dont j'étais membre. L'entendement mortel me chuchota à l'oreille: « Tu ne seras jamais prêt pour la conférence à moins de t'étendre et de te reposer un peu. » A peine avais-je mis la tête sur l'oreiller que cette pensée angélique me vint: « Lève-toi et fais un travail spécifique de prière pour la conférence. » Après avoir prié pendant quelque temps, je me suis reposé un peu, et séance tenante j'ai pris la résolution de me trouver à mon poste à la conférence. Ainsi toucha à sa fin la phase la plus agressive du problème. A la conférence j'avais un poste très en vue, et je suis reconnaissant que la toux se soit arrêtée complètement avant la conférence. Il ne restait même pas une trace de fatigue. Cette guérison avait été rendue possible grâce au soutien que le praticien m'apportait dans un esprit de prière; grâce aussi à l'obéissance dont j'avais fait preuve en demeurant ferme sur ce qui était vrai concernant mon moi réel en tant que création parfaite de l'Esprit.
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