Les étudiants, qui ont assisté à la septième Réunion biennale universitaire et qui se demandaient si la Science Chrétienne pouvait leur être utile dans les études qu'ils poursuivent ou dans les carrières auxquelles ils se préparent, ont dû sans doute trouver la réponse à leurs nombreuses questions en écoutant six messieurs, brillants sur le plan professionnel et pour qui la Science Chrétienne a occupé la première place dans leur vie, parler de leur expérience individuelle.
La réunion eut lieu à Boston, les 24, 25 et 26 août de l'année dernière, sous les auspices de la sous-section « Organisations dans les universités », section de la jeunesse, dépendant du service « Églises filiales et praticiens » de L'Église Mère.
Monsieur Howard P. Jones, ancien ambassadeur en Indonésie et actuellement chancelier du Centre est-ouest à Honolulu, dans l'archipel des Hawaii, s'adressa au public. Il expliqua dans quelle mesure le diplomate peut influer sur des questions touchant à la guerre et à la paix. « Depuis le jour où Ésaïe annonça: “De leurs glaives ils forgeront des hoyaux,... une nation ne tirera plus l'épée contre une autre, et l'on n'apprendra plus la guerre" (Ésaïe 2:4), il a fallu chérir l'idéal de paix sur la terre, dans l'espoir qu'il se concrétise un jour. Aujourd'hui cependant, ce but est devenu une nécessité inéluctable si l'homme, comme nous le connaissons, veut survivre. Un Scientiste Chrétien membre du corps diplomatique ne doit jamais perdre de vue la colombe de la paix. »
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