Depuis la parution de mon témoignage dans le Christian Science Sentinel en 1950, attestant de l'efficacité de la Science Chrétienne dans l'existence humaine, j'ai eu maintes nouvelles preuves de son infaillibilité. En la mettant en pratique, nous avons pu, ma femme et moi, prévenir des inharmonies de toutes natures par notre compréhension.
Cependant, il y a environ cinq ans, je souffris d'éruptions sur le corps. Ne sachant pas exactement ce qu'elles étaient, nous les appelâmes furoncles. Nous pûmes plus ou moins les maîtriser, mais ils réapparaissaient continuellement. Finalement, il y a environ quatre ans, ils prirent des proportions effrayantes et j'étais désespéré. Je fis alors appel à une praticienne de la Science Chrétienne pour qu'elle me donne un traitement. Ses prières amenèrent à nouveau une amélioration, bien que les furoncles continuassent à réapparaître de sorte que je n'étais jamais sans douleur et sans être incommodé.
C'est à ce moment que mon attention fut attirée par un certain article dans The Christian Science Journal. Le premier paragraphe attira immédiatement mon attention, et en continuant à lire, j'en vins à un passage disant que détester les actes de quelqu'un au point d'être irrité par cette personne n'est pas favorable à la santé. L'article mentionnait en outre la nécessité d'être vigilant pour détecter et détruire les pensées qui engendrent la maladie.
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