Ils vinrent de trente-deux pays différents, tous dans le même but. Plus de 5500 étudiants, professeurs et assistants étaient présents à la Réunion biennale universitaire qui eut lieu les 24, 25 et 26 août derniers dans L'Église Mère à Boston. Ils vinrent par avions spéciaux et par bus notamment, du Canada, d'Amérique latine, de quarante-neuf états des États-Unis, d'Australie et de Nouvelle-Zélande, d'Afrique, d'Inde, de plusieurs pays d'Extrême-Orient, entre autres du Japon, d'Indonésie et de Thaïlande, ainsi que des Iles Britanniques et d'Europe en particulier.
Rapports, témoignages et remarques de l'assistance permirent aux étudiants de partager quelques expériences prouvant d'une manière remarquable l'efficacité de la Science Chrétienne dans leur vie privée et dans l'œuvre de leurs organisations à l'université. La réunion qui dura trois jours fut caractérisée par une atmosphère de découverte spirituelle, d'exploration et de recherche. Les étudiants étaient avides d'apprendre comment vivre la Science Chrétienne afin de mieux répondre aux besoins de leurs camarades, de leur entourage, de leur pays et du monde. Le sérieux, la maturité et l'esprit dévoué et réfléchi de ces jeunes Scientistes Chrétiens (beaucoup d'entres eux avaient parcouru des centaines et même des milliers de kilomètres pour être présents) prouvèrent qu'ils sont profondément attachés à la Cause de la Science Chrétienne et qu'ils désirent démontrer ses enseignements plus intensément dans leur vie privée et dans les organisations universitaires.
Plusieurs étudiants lurent des rapports remarquables concernant des problèmes tels que grades universitaires, valeurs spirituelles dans l'étude des arts et des sciences, la « nouvelle morale », la théorie de la « mort de Dieu », les relations harmonieuses entre étudiants de différentes confessions, narcotiques, sports, amitié entre filles et garçons, et cetera. Les étudiants firent d'excellentes remarques à propos de l'application de la Science Chrétienne aux problèmes d'une échelle plus vaste, c'est-à-dire les besoins des pays en voie de développement, la paix mondiale, les conflits sociaux, économiques et politiques, comment devenir de meilleurs citoyens, en un mot, « la guérison des nations ». Apoc. 22:2;
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