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Ma famille et moi-même avons eu maintes...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’avril 1966


Ma famille et moi-même avons eu maintes guérisons en Science Chrétienne, dont un bon nombre ont été instantanées. Celle que je désire relater ici, par contre, prit un certain temps.

Nous avons un fils qui a sept ans et dont le meilleur ami est un petit voisin. Sa famille, qui n'est pas Scientiste Chrétienne, s'en était allée en vacances pendant une semaine. Vers la fin de cette semaine notre fils commença à avoir tous les symptômes de l'impétigo. La croyance était qu'il l'avait contracté en jouant avec son camarade. Nous fîmes notre travail en priant, mais la guérison ne vint pas. Nous nous mîmes alors en rapport avec une praticienne Scientiste Chrétienne, qui commença à traiter l'enfant.

Le jour suivant, un vendredi, nos voisins rentrèrent. Un grand nombre d'arguments se présentèrent que nous avons dû renverser l'un après l'autre: la tentation d'avoir du ressentiment, l'idée que nos voisins devraient être ennuyés pour nous ou que d'autres membres de la famille risquaient de contracter aussi la maladie, et même celle que notre fils l'avait sous une forme plus grave que son ami. Nous surveillâmes nos pensées avec persévérance, affirmant que c'était là une situation sans réalité et que c'était l'occasion d'en prouver l'irréalité afin, comme dit Jean (9:3): « que les œuvres de Dieu soient manifestées ». Pourtant l'impétigo s'aggrava encore. Mais toute cette période fut une période bénie de grande croissance spirituelle.

Le mercredi qui suivit je lus une conférence pleine d'inspiration publiée dans un numéro du Christian Science Monitor qui venait d'arriver. Un des exemples qui illustraient la conférence me frappa particulièrement. Il racontait comment une enfant avait été guérie d'une tache sur le visage. Le facteur décisif de cette démonstration avait été la participation active de l'enfant au travail mental. C'était évidemment là ce qui manquait dans notre cas.

Ce soir-là c'est notre fils lui-même qui parla au téléphone à praticienne. Ce fut un tournant décisif. Au moment de leur conversation de nombreuses éruptions étaient en voie de formation; mais elles diminuèrent et un progrès général se manifesta. Le lendemain soir, l'enfant parla de nouveau par téléphone avec la praticienne et le jour suivant se rendit chez elle.

Nos voisins repartirent en vacances le jour d'après. Avant même leur retour qui survint au bout d'une semaine, notre fils était entièrement libéré et lorsqu'ils revinrent sa guérison les impressionna grandement.

La maman nous dit que son fils lui avait demandé: « Comment se fait-il qu'il se soit débarrassé de son impétigo plus vite que moi, alors qu'il ne prend pas de médicament ? »

D'autres voisins virent également que la guérison s'était accomplie, l'un d'eux déclara: « Vous ne connaissez pas votre bonheur ! »

Nous attestons que nous connaissons au contraire notre bonheur, et que nous savons que la Science Chrétienne en est la raison. La guérison fut progressive, se poursuivant par étapes successives régulières. Et il était évident que cette bénédiction n'était pas strictement limitée à nous.

Nous reconnaissons avec gratitude la joie que cette religion apporte à notre vie, au foyer comme dans le travail. Nous sommes humblement reconnaissants pour tout le travail consacré qui a permis que la Science Chrétienne soit utilisable de nos jours. —

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