La première guérison qui se produisit dans notre famille, après qu'un collègue de mon père lui eut parlé de la Science Chrétienne, fut celle d'une foulure de la cheville que ma mère se fit. Une praticienne de la Science Chrétienne fut appelée, et le soir même ma mère put assister à un concert où elle se rendit à pied, et chanter dans le chœur.
Peu de temps après — j'étais alors toute enfant — je tombai malade. Mes parents hésitèrent tout d'abord à s'en remettre à la Science Chrétienne dans ce cas et un docteur fut appelé. Il déclara que j'avais une appendicite et préconisa une opération immédiate. Mais à ce moment mes parents décidèrent de compter plutôt sur la Science Chrétienne. La même praticienne vint me voir et à la suite de son travail par la prière les symptômes qui avaient milité en faveur de l'opération disparurent du jour au lendemain. Le docteur continua ses visites pendant quelques jours à cause de la surveillance requise par la loi mais je ne reçus de lui aucun traitement. Bientôt j'étais complètement rétablie.
Je suis toujours remplie de gratitude pour les nombreuses années où j'ai fréquenté l'école du dimanche de la Science Chrétienne, où j'ai appris à aimer cette Science et à comprendre dans une certaine mesure ses enseignements. C'est pour moi une grande joie d'avoir vu mon propre fils fréquenter l'école du dimanche jusqu'à l'âge de vingt ans. Le cours d'instruction m'a préparée à mettre davantage en pratique la Science Chrétienne et à assumer des activités particulièrement utiles pour l'église.
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