Que tes demeures sont aimables,
O Éternel des armées ! ...
Mon cœur et ma chair font monter leurs
cris de joie
Vers le Dieu vivant.
Le passereau même trouve bien un asile,
Et l'hirondelle un nid où elle met ses
petits !
Tes autels, ô Éternel des armées,
Mon Roi et mon Dieu !
Heureux ceux qui habitent dans ta maison:
Ils peuvent te louer sans cesse !
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