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[Original en allemand]

Dans mon enfance j'ai souffert de la situation...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 1964


Dans mon enfance j'ai souffert de la situation inharmonieuse qui sévissait au foyer de mes parents. Je cherchai réconfort dans la théologie couramment acceptée, mais en vain. Je ne connaissais qu'un Dieu qui récompense et punit, alors que je cherchais un Père aimant et plein de compassion. Je ne Le trouvai qu'avec les enseignements de la Science Chrétienne [Christian Science]. Ma reconnaissance envers Mrs. Eddy est infinie. Sa consécration de toute une vie à Dieu lui permit de découvrir cette Science, que Christ Jésus avait enseignée et qui bénit toute l'humanité.

Un jour, mes regards furent attirés par une affiche annonçant une conférence sur la Science Chrétienne. Cette conférence allait changer le cours de ma vie. Je demandai à mon mari de m'y accompagner. En entrant je vis les mots « Dieu est Amour » se détacher sur le mur, et je me sentis heureuse.

Au cours même de la conférence, je compris que j'avais trouvé ce que j'avais cherché si ardemment étant enfant. Ma pensée était si pleine de ce que j'avais entendu qu'en dépit de la situation critique de nos finances, j'achetai quelques jours plus tard le livre de texte, Science et Santé, de Mrs. Eddy.

Cependant, je ne comprenais pas trop ce que je lisais et le refus de mon mari à assister aux services du dimanche avec moi modérait encore mon enthousiasme. Mais quelque temps après, je commençai à avoir mes premières guérisons par la Science. Notre petit garçon, alors âgé de deux ans, fut guéri en quelques heures d'une forte fièvre, grâce au travail d'une praticienne; une autre fois, il fut guéri d'une inflammation de la gorge et de conjonctivite. Je sus alors qu'il n'y avait plus rien d'autre pour moi que la Science Chrétienne [Christian Science].

Après avoir étudié la Science plus sérieusement pendant quelque temps, je demandai à mon mari de permettre à notre fils, qui allait commencer l'école, de fréquenter également l'école du dimanche. Mais il n'y consentit pas.

Peu après, notre fils tomba gravement malade; le docteur appelé par mon mari diagnostiqua une maladie du sang prétendument incurable. Son état était si grave qu'il pouvait mourir d'un instant à l'autre, nous dit-on. Le docteur déclara qu'il ne pouvait plus rien pour l'enfant. Il dit également que plusieurs opérations pourraient peut-être lui prolonger la vie, s'il était admis dans un hôpital, mais qu'il ne serait pas guéri.

Le même soir, nous discutâmes de nouveau, et mon mari était d'avis d'envoyer l'enfant à l'hôpital. Je m'y opposai, car je savais que dans notre situation, seule la Science Chrétienne [Christian Science] pouvait nous aider.

Après une forte lutte intérieure, mon mari finit par consentir à ce que j'aille voir une praticienne le lendemain matin. Le docteur ayant cessé de s'occuper de l'enfant, il était tout à fait indiqué que je fasse cette démarche. Mais cette nuit-là après ma conversation avec mon mari, j'eus à lutter contre l'erreur. La crainte et le doute s'étaient emparés de moi. Mais le jour suivant comme j'étais assise en face d'elle, la praticienne me dit: « Dieu est Amour. Il ne vous a pas donné un enfant pour vous le reprendre ensuite. » Ma crainte tomba et fut remplacée par l'espoir, la confiance, la foi.

Lorsque j'arrivai à la maison, je niai l'évidence illusoire qui voulait se présenter à moi sous l'apparence de l'enfant, et je l'envoyai à l'école. A partir de ce moment, l'enfant ne prit plus aucun médicament.

Le dimanche suivant, mon mari et moi assistâmes au service d'une église filiale avec notre fils. Sa santé continua de s'améliorer chaque jour. Le docteur, qui s'était pris d'affection pour l'enfant, nous téléphonait chaque semaine pour prendre de ses nouvelles. Chaque fois, nous lui disions qu'il allait très bien, ce qui lui semblait incroyable. Au bout de six semaines, il nous demanda la permission de l'examiner, et nous la lui accordâmes. Il constata que l'enfant avait encore des symptômes de la maladie, mais qu'il était hors de danger.

Quatre mois plus tard, lorsque nous fûmes tout à fait convaincus que notre fils était guéri, mon mari, par courtoisie, l'emmena de nouveau chez le docteur, qui confirma la guérison complète de l'enfant, qu'il considérait comme miraculeuse.

« Je suis l'Éternel qui te guérit » (Ex. 15:26). Pour nous cette promesse de Dieu s'est certainement accomplie, et depuis lors Dieu a été notre seul médecin. Nous avons eu des guérisons de maux de tête et de dents, de fièvre, d'une commotion cérébrale et de la grippe.

J'exprime ma reconnaissance à Dieu pour Christ Jésus, notre Guide, et pour Mrs. Eddy, qui nous a donné une religion pratique répondant à tous les besoins humains. —

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