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La Science Chrétienne me fut présentée par...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de février 1961


La Science Chrétienne me fut présentée par un voisin, et peu de temps après j’eus ma première guérison. Je souffrais d’une maladie de la vessie. Je pris rendez-vous avec un praticien de la Science Chrétienne. C’était au milieu de l’été, et lorsque je montai dans l’autobus pour aller à mon rendez-vous, le conducteur me dit que je ferais mieux de prendre un taxi, car j’avais l’air très malade. Cependant, je lui affirmai que j’allais bien.

Lorsque j’arrivai dans l’immeuble où se trouvait le bureau du praticien, je découvris que l’ascenseur était en panne et que le bureau du praticien était situé au septième étage. Tandis que je commençais à gravir les marches, par cette journée la plus chaude de la saison, je réalisai que la chaleur de l’Amour était la seule atmosphère. Je me rappelai aussi que Jésus demandait presque toujours à ceux qu’il guérissait de faire quelque effort; je décidai donc que je pouvais monter les escaliers sans danger.

Quand le praticien me vit, il sentit l’effort que j’avais dû faire pour monter ces escaliers, car il me demanda pourquoi je ne lui avais pas demandé de l’aide, sans faire l’effort de venir chez lui. Je lui dis humblement que je connaissais très peu la Science Chrétienne et sa méthode de guérison, et que je pensais qu’il était nécessaire de le voir.

Il m’offrit un siège à proximité du ventilateur électrique, et me dit que si j’avais envie de lire il y avait quelques exemplaires du Christian Science Sentinel sur la table à côté de moi. Puis il ferma les yeux et se mit à prier. Je pris un des Sentinels pour le lire.

Lorsque le praticien eut fini son traitement, j’étais complètement guérie, pourtant auparavant j’avais eu non seulement de grandes douleurs, mais une hémorragie. Je dois dire aussi que je ne souffris plus jamais des grandes chaleurs, bien qu’aucun traitement ne m’eût été donné pour cela.

Quelques années plus tard, alors que je visitais la France, j’appris la disparition subite de ma mère. J‘étais malade à l‘époque, et cette nouvelle aggrava mon état. Après trois jours de souffrance, j’appelai une praticienne au milieu de la nuit. Elle sentit ma détresse et me dit de retourner au lit, et de venir la voir le lendemain matin.

Au bout de très peu de temps, je m‘endormis paisiblement. Je vis la praticienne le lendemain matin, et quand je la quittai, j’étais complètement guérie de mon chagrin et de tout sentiment de perte, ainsi que de la maladie dont je souffrais.

Des maux moins graves ont disparu sans que j’eusse reçu un traitement. Je perdis l’habitude de boire en société, sans m’en rendre compte, mais la lutte pour me débarrasser de l’envie de fumer fut plus difficile. Bien qu’ayant le désir de devenir membre de L’Église Mère et d’une église filiale, il me semblait impossible de pouvoir m’arrêter de fumer.

Lorsque j’eus le désir sincère de suivre le cours d’instruction, et que j’écrivis à un professeur, il me dit dans sa réponse, tout en faisant allusion à quelque chose d’autre: « Quand le but est désirable, l’expectative hâte nos progrès » (Science et Santé par Mrs. Eddy, p. 426), et ceci fut la clef de la guérison complète qui s‘ensuivit. Peu de temps après, j’eus le merveilleux privilège de suivre le cours d’instruction.

Une autre fois, je reçus d’une source tout à fait inattendue, l’argent nécessaire pour me rendre en Europe. Pendant le voyage de retour que je fis à bord d’un petit cargo, je remarquai que j’avais un petit kyste sur le front près de l’œil. Je songeai à en extraire la partie centrale. Tandis que j’avais une aiguille et un miroir dans la main, il me vint aussitôt l’idée que Dieu n’a pas besoin d’aide matérielle, et que cette manifestation matérielle n’avait rien à voir avec la création parfaite, pure et sans tache de Dieu.

Plus tard, alors que j’étais sur le pont en train de méditer sur la totalité de l’Entendement, sur ce que Mrs. Eddy dit du firmament et du ciel, et sur bien d’autres vérités merveilleuses, je sentis tout à coup quelque chose d’humide sur mon front. Pensant que c’était une goutte d’eau, je passai ma main sur l’endroit où j’avais eu cette impression, et je trouvai une matière dure dans ma main. Le kyste s’était ouvert. Le lendemain matin, il n’en restait aucune trace. Je me rappelai avec reconnaissance les témoignages que j’avais lus concernant la chirurgie mentale, et je rendis grâce de tout mon cœur à Dieu pour Son aide toujours présente qui nous appartient lorsque nous l’utilisons.

Je voudrais également dire que je surmontai la timidité que j’éprouvais en donnant des témoignages, après avoir lu les livres autorisés sur la vie et l’œuvre de notre Leader, et compris la place qu’elle occupe en présentant la vérité à l’humanité.

Je suis reconnaissante envers Dieu pour Christ Jésus, notre Guide. Je suis reconnaissante pour la prévoyance dont fit preuve Mrs. Eddy, lorsqu’elle nous donna les Leçons- Sermons du Livret Trimestriel à étudier chaque jour. Mon grand désir est d’être digne du nom de Scientiste Chrétienne et d’aider les autres comme j’ai été aidée. —

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