Pendant la première guerre mondiale, mes journées de travail étaient si longues et si épuisantes que j'étais sur le point d'avoir, à la fin de la guerre, une crise de dépression nerveuse. A cette époque, j'entendis parler d'un docteur d'une autre ville qui traitait ses patients par l'hypnotisme. Je décidai d'aller voir ce docteur, et aussitôt arrivé à destination, je téléphonai à son bureau, mais on me dit qu'il était absent.
Je décidai de passer le week-end dans cette ville, et le samedi soir tandis que je me promenais sans but, j'arrivai devant une Salle de Lecture de la Science Chrétienne située au rez-de-chaussée d'un bâtiment. La Salle de Lecture était fermée, mais la vitrine était éclairée, et je vis pour la première fois Science et Santé avec la Clef des Écritures par Mary Baker Eddy. Je lus les deux pages auxquelles ce livre était ouvert, et ce que je lus me plut énormément. Une fois de retour à la maison, j'achetai sans tarder Science et Santé, et en l'étudiant je fus libéré de la maladie nerveuse qui me tourmentait. Depuis, j'ai eu de nombreuses guérisons grâce à la lecture des pages inspirées de ce livre. Lorsque je lus pour la première fois le chapitre intitulé « Le magnétisme animal démasqué », je fus profondément reconnaissant d'avoir été divinement guidé et protégé, évitant ainsi d'étudier de plus près l'influence de l'hypnotisme.
Je désire exprimer ma reconnaissance pour les guérisons physiques que j'ai eues très souvent grâce à l'aide efficace des praticiens, et, en d'autres cas, grâce à mon étude du livre de texte de la Science Chrétienne seulement. J'ai eu en particulier des guérisons de pneumonie, de grippe et d'ulcères à l'estomac. J'ai été aussi guéri d'une hernie. Un docteur de l'usine où je travaillais me dit qu'il me faudrait soit subir une opération, ou porter un bandage spécial. Je portai une ceinture pendant quelque temps, mais il me venait sans cesse cette pensée angélique que Dieu seul est le soutien de l'homme. Je mis de côté le bandage, mais je me dis en moi-même que si je souffrais à nouveau, je pourrais recommencer à le porter. La douleur ne revint pas, mais l'enflure était toujours là.
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