Parfois si quelqu'un d'étranger à la Science Chrétienne est sur le point de s'informer avec prudence de ce qu'est cette Science, il désirera savoir quelle influence elle aurait sur lui s'il en entreprenait l'étude. Ayant accepté les vieux concepts matériels concernant la substance, la santé, ainsi que les joies et les satisfactions de la vie, il se demande combien de ceux-ci il sera obligé d'abandonner. Ce désir d'être assuré des effets de la Science Chrétienne avant d'en connaître la substance, est, dans certains cas, compréhensible et mérite qu'on y réponde clairement et avec sympathie.
On peut déclarer, avec une certitude issue de près de quatre-vingt-dix ans d'expérience collective, que l'influence de la Science Chrétienne sur les Scientistes Chrétiens est bienfaisante au vrai sens du mot. L'ère matérialiste, prenant pour base sa croyance dans la réalité physique, qui apparaît comme étant la substance, l'intelligence et la vie matérielles, ne reconnaît pas à la Vérité spirituelle le pouvoir omnipotent qu'elle a aussi bien dans le domaine physique que dans le domaine mental. Ainsi, l'ère matérialiste s'oppose aux enseignements de la Science Chrétienne qui sont exclusivement basés sur la nature spirituelle de la réalité.
La Science Chrétienne dissipe cette confusion de la pensée en assurant celui qui l'étudie depuis peu, de la vérité scientifique et de la valeur pratique des enseignements de Christ Jésus concernant la seule réalité et le seul pouvoir du bien spirituel. Ces enseignements que la Science Chrétienne redit au monde du vingtième siècle, ont fourni la preuve qu'ils pouvaient établir, ou rétablir, pour ceux qui les étudient, aujourd'hui aussi bien que du temps de Jésus, le bien-être physique et moral comme étant l'expression sur le plan humain de la qualité de la réalité absolue.
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