Je tiens à exprimer par le canal des périodiques ma gratitude concernant toute l’aide obtenue grâce à l’étude de la Science Chrétienne; j’ai eu bien des guérisons, non seulement de maladies mais d’autres difficultés. Aujourd’hui je ne vois pas comment je pourrais vivre sans la Science Chrétienne. Je suis heureuse de connaître au moins dans une certaine mesure ces merveilleux enseignements rendus accessibles à tous par les ouvrages de Mary Baker Eddy, riches en inspiration.
Je désire mentionner quelques-unes des guérisons que ma famille et moi-même avons obtenues. Pendant quelque deux ans je souffrais presque toujours de l’estomac. Malgré mes efforts pour mettre en pratique ce que j’avais appris en Science, j’étais incommodée jour et nuit. J’eus recours à une chère amie qui est praticienne et qui promit de m’aider. Bientôt je fus affranchie de mes craintes, puis les douleurs cessèrent entièrement. Ce mal n’est jamais revenu.
Une autre guérison concernait une excroissance de la grosseur d’une cerise, au poignet de la main droite. Cela me gênait beaucoup, par exemple quand je voulais mettre ma main sur la table pour écrire. Je me réservai régulièrement chaque jour une heure au moins pour étudier le livre de texte, Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy. L’excroissance disparut pendant la nuit sans laisser de traces, bien qu’elle eût été visible trois ans au moins. Comme je n’avais pas demandé de l’aide à ce sujet, j’attribue cette guérison à mon étude de Science et Santé.
Mon premier contact avec la Science Chrétienne remonte à une vingtaine d’années, et je voudrais le décrire. Jusqu’alors j’avais entendu parler vaguement de cette religion sans savoir ce qu’elle implique. Mon fils cadet âgé de vingt ans était très malade; il avait une fluxion de poitrine et se trouvait à l’hôpital. Malgré les efforts de cinq bons docteurs il ne se remettait pas. Après trois mois de traitement, il eut une forte fièvre. Il subit une opération qui ne servit de rien. D’autres symptômes apparurent, son état empira, et les médecins dirent qu’il n’y avait plus rien à faire.
Le jour où ils émirent cette opinion, je trouvai un exemplaire du Héraut de la Science Chrétienne (Édition Scandinave). Je le lus et le soir même, un mercredi, j’assistai à une réunion de témoignages dans une Église du Christ, Scientiste, où je pus entendre bien des choses qui m’aidaient. Ensuite je parlai à un praticien, qui promit d’aller le lendemain voir mon fils à l’hôpital.
Il tint sa promesse et resta une heure entière auprès de mon fils, lui expliquant la Science d’une façon simple et claire mais avec autorité. Le jeune homme écoutait attentivement, il buvait la vérité comme une éponge absorbe l’eau. Le praticien déclara: « La Science Chrétienne est une loi détruisant tout le mal. » A l’instant la fièvre s’atténua, et moins d’une semaine plus tard elle avait disparu. Chaque jour le praticien rendait visite à mon fils qui put bientôt quitter l’hôpital, complètement rétabli. Après sa première entrevue avec le praticien, on le dispensa des soins médicaux. Sa santé s’est toujours maintenue. Il est marié, père de famille, et c’est avec gratitude qu’il étudie fidèlement la Science Chrétienne.
Grâce à l’étude du livre de texte Scientiste Chrétien j’arrive à comprendre les admirables messages de la Bible, ce qui m’inspire une reconnaissance profonde et sincère. Je rends grâce à Dieu de tout ce que Mrs. Eddy a fait pour le genre humain, en travaillant avec abnégation pour l’organisation de la Science Chrétienne; l’aide dévouée de notre praticien est aussi un sujet de reconnaissance.— Kårsta, Suède.
C’est avec plaisir que je corrobore le témoignage de ma mère; en même temps je désire exprimer ma profonde gratitude à l’égard de la Science Chrétienne et de tout ce qu’elle fait pour les miens et moi-même.
