La Science Chrétienne guérit. C'est une Science aussi bien que la science des mathématiques ou celle de l'harmonie musicale. Ma gratitude envers Dieu est profonde; je lui rends grâce de ce que Mary Baker Eddy a retrouvé la guérison chrétienne puis en a fait part au monde pour tous les temps par son livre de texte, Science et Santé avec la Clef des Écritures. Dans ce volume j'apprécie particulièrement le chapitre sur la Prière.
A ma famille et à moi-même la Science Chrétienne a valu d'innombrables bienfaits. Je tiens à relater deux guérisons, l'une qui me concernait et l'autre dont je fus témoin. En 1942 le médecin qui m'examina en vue d'une assurance sur la vie me dit qu'on ne pouvait me l'accorder parce que j'étais apparemment diabétique. On me pria de revenir quelques jours plus tard pour un second examen. Ensuite le docteur déclara que sans aucun doute j'étais atteint de diabète. Cet arrêt me troubla beaucoup, car cette maladie avait emporté mon père et l'un de mes oncles.
Immédiatement j'eus recours à un praticien de la Science Chrétienne qui m'accorda son aide pendant plusieurs mois. Lorsque je cherchai de nouveau à obtenir une police d'assurance, un examen médical approfondi montra que le diabète avait entièrement disparu et le contrat fut signé. En même temps je me rendis compte avec joie qu'une éruption infectieuse affectant mes pieds avait disparu.
La seconde guérison que je voudrais décrire remonte à quelques années, époque où ma belle-sœur et son petit garçon de six ans vinrent passer plusieurs semaines chez nous. L'enfant fréquenta pour la première fois l'École du dimanche Scientiste Chrétienne où il se plaisait. Un matin à son réveil il manifesta des symptômes de maladie très pénibles. Sa mère décida qu'il serait traité en Science Chrétienne et l'on fit appel à un praticien. Mais les choses empirèrent et à la fin de la seconde journée le petit garçon ne pouvait plus marcher.
Le matin suivant la situation paraissait très alarmante; ma belle-sœur téléphona au praticien pour demander s'il fallait signaler le cas aux autorités, comme étant peut-être contagieux. Pendant qu'elle téléphonait le petit garçon sauta hors de son lit et vint en courant dans la chambre voisine où je me trouvais. Passant les bras autour de mon cou il dit: « Je suis si content. Je suis si content! » Pendant qu'il était sur mes genoux la fièvre prit fin. Il s'habilla lui-même, eut un bon déjeuner et téléphona au praticien pour lui exprimer sa gratitude. Pendant le reste de la journée il s'amusa, tout heureux.
Dans les affaires, la Science Chrétienne est pour moi une aide inestimable, surtout en ce qui concerne les rapports avec autrui. Être membre de L'Église Mère et d'une église filiale, avoir suivi le cours d'instruction, voilà des privilèges dont je suis reconnaissant. — Hartsdale (New-York), États-Unis.